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La décroissance comme nouvel horizon (?) / Boris Fronteddu
Titre : La décroissance comme nouvel horizon (?) Type de document : texte imprimé Auteurs : Boris Fronteddu, Auteur ; Romain Gelin, Auteur ; Roxanne Lejeune, Auteur Editeur : Citoyenneté & Participation Année de publication : février 2024 Collection : tumult num. 2 Importance : 92 p Note générale : ARCH.GRE-2024 Langues : Français (fre) Catégories : Alternatives
ARCHIVESTags : Décroissance Consommation Ecologie Feminisme Résumé : La dernière décennie a été marquée par de nombreuses crises : géopolitiques, humanitaires, sanitaires, économiques et environnementales… Le monde et la société que nous connaiss(i)ons sont en crises. S’il y a un peu plus d’une décennie, Stéphane Hessel tentait de réveiller les consciences par la publication de son essai Indignez-vous !, ouvrant doucement le débat sur notre modèle de société… Force est de constater aujourd’hui que par-delà les essais et théories, c’est
bien la multiplication des crises qui nous pousse à réfléchir « urgemment » à notre modèle de société… Citoyenneté & Participation ne fait pas exception à la règle. Si depuis plus de quinze ans, nous nous attachons à accompagner les publics précaires, à étudier et lutter contre les inégalités pour construire une
société plus juste et plus solidaire ; au départ, nous situions les changements nécessaires, au sein de notre modèle actuel de société… Puis progressivement, au contact des réalités de notre public, à force de porter leurs voix — celles de ceux qui subissent les crises en ayant si peu de poids sur les décisions, à force de constats et de réflexion, nous en sommes arrivés à situer un certain nombre d’alternatives nécessaires à cette société, plus juste et solidaire dont nous rêvons, hors de celui-ci. Les mots « société en transition », « post-croissance » ou encore « décroissance » ont commencé à devenir récurrents dans nos réflexions —, quelles que soient les thématiques traitées. Mais une question devenait centrale : qu’entendions-nous vraiment par ces mots ? Quand on évoque la décroissance — concept de plus en plus en vogue — qu’évoquons-nous réellement ?Note de contenu : -La décroissance, nouveau sens commun ? p.15-22
-Consumérisme, psychologie et marges de manœuvre des consommateurs p.23-31
-Ecoféminisme : à l'avant-garde d'une réflexion sur la décroissance ? p.55-64La décroissance comme nouvel horizon (?) [texte imprimé] / Boris Fronteddu, Auteur ; Romain Gelin, Auteur ; Roxanne Lejeune, Auteur . - [S.l.] : Citoyenneté & Participation, février 2024 . - 92 p. - (tumult; 2) .
ARCH.GRE-2024
Langues : Français (fre)
Catégories : Alternatives
ARCHIVESTags : Décroissance Consommation Ecologie Feminisme Résumé : La dernière décennie a été marquée par de nombreuses crises : géopolitiques, humanitaires, sanitaires, économiques et environnementales… Le monde et la société que nous connaiss(i)ons sont en crises. S’il y a un peu plus d’une décennie, Stéphane Hessel tentait de réveiller les consciences par la publication de son essai Indignez-vous !, ouvrant doucement le débat sur notre modèle de société… Force est de constater aujourd’hui que par-delà les essais et théories, c’est
bien la multiplication des crises qui nous pousse à réfléchir « urgemment » à notre modèle de société… Citoyenneté & Participation ne fait pas exception à la règle. Si depuis plus de quinze ans, nous nous attachons à accompagner les publics précaires, à étudier et lutter contre les inégalités pour construire une
société plus juste et plus solidaire ; au départ, nous situions les changements nécessaires, au sein de notre modèle actuel de société… Puis progressivement, au contact des réalités de notre public, à force de porter leurs voix — celles de ceux qui subissent les crises en ayant si peu de poids sur les décisions, à force de constats et de réflexion, nous en sommes arrivés à situer un certain nombre d’alternatives nécessaires à cette société, plus juste et solidaire dont nous rêvons, hors de celui-ci. Les mots « société en transition », « post-croissance » ou encore « décroissance » ont commencé à devenir récurrents dans nos réflexions —, quelles que soient les thématiques traitées. Mais une question devenait centrale : qu’entendions-nous vraiment par ces mots ? Quand on évoque la décroissance — concept de plus en plus en vogue — qu’évoquons-nous réellement ?Note de contenu : -La décroissance, nouveau sens commun ? p.15-22
-Consumérisme, psychologie et marges de manœuvre des consommateurs p.23-31
-Ecoféminisme : à l'avant-garde d'une réflexion sur la décroissance ? p.55-64
Titre : Peut-on concilier économie et écologie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Gelin, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur ; Boris Fronteddu, Auteur ; Brieuc Wathelet, Auteur Editeur : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA) Année de publication : jan/fév/mars 2021 Collection : Gresea échos num. 105 Importance : 64 p Note générale : ARCH.GE/2021-105 Langues : Français (fre) Catégories : ARCHIVES Tags : Ecologie Economie Climat Europe Résumé : Si aujourd’hui le terme « économie » renvoie spontanément à l’idée de production, accumulation, rendement, il n’en a pas toujours été ainsi. À l’origine, ce terme englobe bien d’autres acceptions. Ainsi, au 18e, on parle par exemple de « l’économie d’une pièce de théâtre » à propos de l’agencement des différentes scènes, décors, costumes, etc. L’« économie de la nature » désigne alors les relations entre les différentes espèces vivantes − êtres humains compris − évoluant au sein des écosystèmes. Progressivement, l’économie va intégrer des notions de rendements et de capital, évacuer la nature et se concentrer uniquement sur les relations humaines pour ne plus exister que dans le sens qu’on lui connait actuellement. Au 19e siècle, le néologisme « écologie » apparait, avec une définition proche de celle de l’économie de la nature. La discipline va rapidement s’autonomiser pour étudier uniquement le milieu naturel (animaux et végétaux), sans les humains. Et si les raisons de notre incapacité à gérer les défis environnementaux actuels s’expliquaient par la séparation dans l’étude des humains et de la nature ? Et si on s’attachait à étudier les écosystèmes et les sociétés humaines comme un tout ? Peut-être alors pourrait-on réellement (ré)concilier économie et écologie… Ce numéro du Gresea Échos fait état de la place de la nature dans la pensée économique dominante depuis ses origines pour aboutir aux politiques environnementales actuelles. Note de contenu : -Economie écologie : un nouveau paradigme économique ? p.21-24
-L'écologie de Marx p.35-44
-Le pacte vert pour l'Europe : des paroles aux actes manqués p.45-56En ligne : https://gresea.be/Peut-on-concilier-economie-et-ecologie Peut-on concilier économie et écologie ? [texte imprimé] / Romain Gelin, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur ; Boris Fronteddu, Auteur ; Brieuc Wathelet, Auteur . - [S.l.] : Groupe de Recherche pour une Stratégie économique Alternative (GRESEA), jan/fév/mars 2021 . - 64 p. - (Gresea échos; 105) .
ARCH.GE/2021-105
Langues : Français (fre)
Catégories : ARCHIVES Tags : Ecologie Economie Climat Europe Résumé : Si aujourd’hui le terme « économie » renvoie spontanément à l’idée de production, accumulation, rendement, il n’en a pas toujours été ainsi. À l’origine, ce terme englobe bien d’autres acceptions. Ainsi, au 18e, on parle par exemple de « l’économie d’une pièce de théâtre » à propos de l’agencement des différentes scènes, décors, costumes, etc. L’« économie de la nature » désigne alors les relations entre les différentes espèces vivantes − êtres humains compris − évoluant au sein des écosystèmes. Progressivement, l’économie va intégrer des notions de rendements et de capital, évacuer la nature et se concentrer uniquement sur les relations humaines pour ne plus exister que dans le sens qu’on lui connait actuellement. Au 19e siècle, le néologisme « écologie » apparait, avec une définition proche de celle de l’économie de la nature. La discipline va rapidement s’autonomiser pour étudier uniquement le milieu naturel (animaux et végétaux), sans les humains. Et si les raisons de notre incapacité à gérer les défis environnementaux actuels s’expliquaient par la séparation dans l’étude des humains et de la nature ? Et si on s’attachait à étudier les écosystèmes et les sociétés humaines comme un tout ? Peut-être alors pourrait-on réellement (ré)concilier économie et écologie… Ce numéro du Gresea Échos fait état de la place de la nature dans la pensée économique dominante depuis ses origines pour aboutir aux politiques environnementales actuelles. Note de contenu : -Economie écologie : un nouveau paradigme économique ? p.21-24
-L'écologie de Marx p.35-44
-Le pacte vert pour l'Europe : des paroles aux actes manqués p.45-56En ligne : https://gresea.be/Peut-on-concilier-economie-et-ecologie