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Auteur Michel Weber |
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Titre : Humains connectés dans un monde malade Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; Michel Weber, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : juin/juillet 2019 Collection : Kairos num. 40 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Numérique Alternatives Environnement Résumé : La conscience et le sens des limites sont des tares à l’heure des trottinettes électriques colonisant les villes, des smartphones comme prothèse multi-fonctions ou des voitures « autonomes »…, produits de la connexion généralisée. La science en a pris la mesure, elle dont l’aphorisme se lit désormais plus souvent comme « science sans profit n’est que ruine de la croissance ». Et donc des subsides, et de la recherche… Huawei, qui, avec l’arrogance de la toute-puissance publicitaire, arborait en anglais dans les rues de la capitale quelques jours avant les triples élections belges : « votez pour la 5G », ajoutant en dessous « voter n’est pas uniquement une question de candidats, c’est aussi une question de valeur ! Votez pour un futur plus intelligent avec la 5G », le sait bien. Déjà en 2015, elle s’offrait les services de l’ULB et de la VUB, pénétrant l’antre universitaire et pourfendant sans vergogne l’indépendance qu’elles avaient l’habitude de brandir comme étendard, gage de leur impartialité. On pouvait lire dans l’accord de collaboration entre les universités, Proximus et Huawei, signé à l’occasion de la mission royale en Chine(1) : « Proximus et Huawei fourniront et mettront en œuvre une infrastructure à la pointe de l’innovation ICT, avec entre autres la technologie 5G (…) L’ULB et la VUB visent à créer un “campus du futur” à Bruxelles en vue de développer un concept innovant et visionnaire, profitant de la présence de leurs facultés de science et d’ingénierie sur un même campus (…) La prochaine génération de technologie sans fil, avec entre autres la technologie 5G pour le Learning and Innovation Center, sera une partie essentielle de cette collaboration. Ce sera l’une des premières applications de la technologie 5G en Belgique. Huawei a lancé son European Research Center (ERI) en mai dernier, en Belgique, pour mener ses efforts de recherche afin de faire de la technologie 5G une réalité » Note de contenu : -plaidoyer pour la stabilité et la conservation p.6-8
-les rationalités de l'électronucléaire p.15-17En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-40 Humains connectés dans un monde malade [texte imprimé] / Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; Michel Weber, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, juin/juillet 2019 . - 24 p. - (Kairos; 40) .
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Catégories : Revues Tags : Numérique Alternatives Environnement Résumé : La conscience et le sens des limites sont des tares à l’heure des trottinettes électriques colonisant les villes, des smartphones comme prothèse multi-fonctions ou des voitures « autonomes »…, produits de la connexion généralisée. La science en a pris la mesure, elle dont l’aphorisme se lit désormais plus souvent comme « science sans profit n’est que ruine de la croissance ». Et donc des subsides, et de la recherche… Huawei, qui, avec l’arrogance de la toute-puissance publicitaire, arborait en anglais dans les rues de la capitale quelques jours avant les triples élections belges : « votez pour la 5G », ajoutant en dessous « voter n’est pas uniquement une question de candidats, c’est aussi une question de valeur ! Votez pour un futur plus intelligent avec la 5G », le sait bien. Déjà en 2015, elle s’offrait les services de l’ULB et de la VUB, pénétrant l’antre universitaire et pourfendant sans vergogne l’indépendance qu’elles avaient l’habitude de brandir comme étendard, gage de leur impartialité. On pouvait lire dans l’accord de collaboration entre les universités, Proximus et Huawei, signé à l’occasion de la mission royale en Chine(1) : « Proximus et Huawei fourniront et mettront en œuvre une infrastructure à la pointe de l’innovation ICT, avec entre autres la technologie 5G (…) L’ULB et la VUB visent à créer un “campus du futur” à Bruxelles en vue de développer un concept innovant et visionnaire, profitant de la présence de leurs facultés de science et d’ingénierie sur un même campus (…) La prochaine génération de technologie sans fil, avec entre autres la technologie 5G pour le Learning and Innovation Center, sera une partie essentielle de cette collaboration. Ce sera l’une des premières applications de la technologie 5G en Belgique. Huawei a lancé son European Research Center (ERI) en mai dernier, en Belgique, pour mener ses efforts de recherche afin de faire de la technologie 5G une réalité » Note de contenu : -plaidoyer pour la stabilité et la conservation p.6-8
-les rationalités de l'électronucléaire p.15-17En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-40
Titre : Quelle place pour la spiritualité dans la tourmente de l'époque ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Weber, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; S. Kimo, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : décembre 2022 Collection : Kairos num. 57 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Religions Europe Santé Résumé : Le mouvement totalitaire covidien a suscité, entre autres phénomènes, une nouvelle mise en évidence du rôle de la spiritualité pour faire face à l’adversité. Comme l’avait fait remarquer Blaise Pascal, « nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur(2) ». Que l’on soit athée ou croyant, on ne peut que s’en réjouir. Car l’Occident était devenu, selon le terme de Max Weber, désenchanté (i. e. « déspiritualisé ») depuis l’avènement de la modernité il y a quelque 250 ans, quand l’humanisme rationaliste, l’éthique libérale et l’industrialisme se sont imposés, amenant le bourgeois négociant, le savant, l’ingénieur et le législateur, après avoir chassé l’aristocrate, la sorcière, l’alchimiste, le prêtre et l’artisan. Les philosophes progressistes des Lumières — dont Diderot et Voltaire sont les parangons — ne virent bientôt plus dans la religion qu’ignorance, superstition et fanatisme, à l’exception de rares voix discordantes : Jean-Jacques Rousseau considérait la religion comme un instrument d’éducation civique ; Montesquieu en reconnaissait aussi l’utilité sociale et morale. Au XIXe siècle, d’autres la réorientèrent, comme l’économiste Constantin Pecqueur qui avançait avec prémonition que « l’industrie fera un jour partie de la vraie religion(3) ». Note de contenu : -La dette publique européenne, piège mortel pour la démocratie p.18-19 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 Quelle place pour la spiritualité dans la tourmente de l'époque ? [texte imprimé] / Michel Weber, Auteur ; Bernard Legros, Auteur ; S. Kimo, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, décembre 2022 . - 24 p. - (Kairos; 57) .
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Catégories : Revues Tags : Religions Europe Santé Résumé : Le mouvement totalitaire covidien a suscité, entre autres phénomènes, une nouvelle mise en évidence du rôle de la spiritualité pour faire face à l’adversité. Comme l’avait fait remarquer Blaise Pascal, « nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur(2) ». Que l’on soit athée ou croyant, on ne peut que s’en réjouir. Car l’Occident était devenu, selon le terme de Max Weber, désenchanté (i. e. « déspiritualisé ») depuis l’avènement de la modernité il y a quelque 250 ans, quand l’humanisme rationaliste, l’éthique libérale et l’industrialisme se sont imposés, amenant le bourgeois négociant, le savant, l’ingénieur et le législateur, après avoir chassé l’aristocrate, la sorcière, l’alchimiste, le prêtre et l’artisan. Les philosophes progressistes des Lumières — dont Diderot et Voltaire sont les parangons — ne virent bientôt plus dans la religion qu’ignorance, superstition et fanatisme, à l’exception de rares voix discordantes : Jean-Jacques Rousseau considérait la religion comme un instrument d’éducation civique ; Montesquieu en reconnaissait aussi l’utilité sociale et morale. Au XIXe siècle, d’autres la réorientèrent, comme l’économiste Constantin Pecqueur qui avançait avec prémonition que « l’industrie fera un jour partie de la vraie religion(3) ». Note de contenu : -La dette publique européenne, piège mortel pour la démocratie p.18-19 En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44