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La finance capitaliste / François Chesnais
Titre : La finance capitaliste Type de document : texte imprimé Auteurs : François Chesnais, Auteur ; Suzanne de Brunhoff, Auteur ; Michel Husson ; Dominique Lévy ; Gérard Duménil Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2006 Collection : Actuel Marx Contemporain Importance : 254 p Note générale : 02.01.BRU Langues : Français (fre) Catégories : Finances internationales Tags : Finances Capital Science économique Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : Cet ouvrage collectif est issu des travaux du séminaire d'études marxistes. Les cinq auteurs cherchent à articuler l'analyse du capitalisme néolibéral et de la mondialisation à l'oeuvre de Marx et de ses continuateurs, comme Hilferding et Lénine. L'actualité de Marx y est montrée: celle de ses notions (capital porteur d'intérêt, capital fictif, capital bancaire) et celle de ses analyses des mécanismes financiers, de l'instabilité qu'ils engendrent, ainsi que leurs relations aux structures de classe.
De Brunhoff ouvre l'ouvrage par une revue des grands cadres analytiques - Ricardo, Walras, Keynes - et termine par une appréciation du rôle du dollar dans l'économie mondiale. Chesnais décrit la prééminence de la finance et l'accumulation vertigineuse de capital fictif, capitalisation périlleuse d'un flux de revenus futurs. Duménil et Lévy consacrent un chapitre au cadre marxiste; dans un second, ils analysent la finance, combinaison des fractions supérieures des classes capitalistes et des institutions financières, comme la force hégémonique du néolibéralisme. Et Husson stigmatise le capitalisme contemporain comme un système de surexploitation, incapable de créer de nouveau lieux d'accumulation. Un ouvrage d'actualité et accessible, à recommander à celles et ceux qui sont à la recherche d'un cadre d'analyse critique des rouages du capitalisme financier.La finance capitaliste [texte imprimé] / François Chesnais, Auteur ; Suzanne de Brunhoff, Auteur ; Michel Husson ; Dominique Lévy ; Gérard Duménil . - Paris (France) : PUF, 2006 . - 254 p. - (Actuel Marx Contemporain) .
02.01.BRU
Langues : Français (fre)
Catégories : Finances internationales Tags : Finances Capital Science économique Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : Cet ouvrage collectif est issu des travaux du séminaire d'études marxistes. Les cinq auteurs cherchent à articuler l'analyse du capitalisme néolibéral et de la mondialisation à l'oeuvre de Marx et de ses continuateurs, comme Hilferding et Lénine. L'actualité de Marx y est montrée: celle de ses notions (capital porteur d'intérêt, capital fictif, capital bancaire) et celle de ses analyses des mécanismes financiers, de l'instabilité qu'ils engendrent, ainsi que leurs relations aux structures de classe.
De Brunhoff ouvre l'ouvrage par une revue des grands cadres analytiques - Ricardo, Walras, Keynes - et termine par une appréciation du rôle du dollar dans l'économie mondiale. Chesnais décrit la prééminence de la finance et l'accumulation vertigineuse de capital fictif, capitalisation périlleuse d'un flux de revenus futurs. Duménil et Lévy consacrent un chapitre au cadre marxiste; dans un second, ils analysent la finance, combinaison des fractions supérieures des classes capitalistes et des institutions financières, comme la force hégémonique du néolibéralisme. Et Husson stigmatise le capitalisme contemporain comme un système de surexploitation, incapable de créer de nouveau lieux d'accumulation. Un ouvrage d'actualité et accessible, à recommander à celles et ceux qui sont à la recherche d'un cadre d'analyse critique des rouages du capitalisme financier.La planification aujourd'hui / Nicolas Tertulian
Titre : La planification aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Tertulian, Auteur ; Nathan Sperber, Auteur ; Guillaume Fondu, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : premier semestre 2019 Collection : Actuel Marx Contemporain num. 65 Importance : 234 p Présentation : 08.02 TER Langues : Français (fre) Catégories : Histoire économique Tags : Socialisme Histoire économique Planification Privatisation Politique industrielle Multinationales Alternatives Politique économique Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Les expériences de planification « socialiste » du XXe siècle se sont soldées par des échecs, délégitimant l'idée que ce mode de coordination économique puisse constituer une alternative au marché. Mais depuis la Grande Récession de 2008, dans laquelle nous sommes encore plongés, la planification est de retour. La crise du néolibéralisme laisse entrevoir la possibilité d'autres types d'organisation de l'économie. La planification aujourd'hui [texte imprimé] / Nicolas Tertulian, Auteur ; Nathan Sperber, Auteur ; Guillaume Fondu, Auteur . - Paris (France) : PUF, premier semestre 2019 . - 234 p : 08.02 TER. - (Actuel Marx Contemporain; 65) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire économique Tags : Socialisme Histoire économique Planification Privatisation Politique industrielle Multinationales Alternatives Politique économique Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Les expériences de planification « socialiste » du XXe siècle se sont soldées par des échecs, délégitimant l'idée que ce mode de coordination économique puisse constituer une alternative au marché. Mais depuis la Grande Récession de 2008, dans laquelle nous sommes encore plongés, la planification est de retour. La crise du néolibéralisme laisse entrevoir la possibilité d'autres types d'organisation de l'économie. Sexe,race, classe / Elsa Dorlin
Titre : Sexe,race, classe : pour une épistémologie de la domination Type de document : texte imprimé Auteurs : Elsa Dorlin, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2019 Collection : Actuel Marx Contemporain Importance : 313 p Présentation : 07.02.DOR Langues : Français (fre) Tags : Féminisme Genre Emploi Travail Histoire sociale Index. décimale : 07.02 Société Résumé : La pensée féministe s’est historiquement attachée, depuis — voire en dehors de — la tradition matérialiste, à montrer que le rapport de classe n’épuise pas l’expérience de la domination vécue par les femmes et, plus généralement, par les minorités sexuelles. Plus encore, en élaborant des outils d’analyse tels que le « mode de production domestique », les « rapports sociaux de sexe » ou le « rapport de genre », la pensée féministe a travaillé sur l’imbrication des rapports de pouvoir, dénaturalisant la catégorie de « sexe » à l’aune de ses déterminations historico-sociales.
Depuis quelques années en France, la réflexion sur l’imbrication des rapports de pouvoir s’est complexifiée davantage, notamment sous l’influence des travaux nord et sud-américains, mais aussi caribéens ou indiens. Les problématiques relatives aux identités sexuelles, aux régimes de sexualité, mais aussi celles articulant le genre et la nation, la religion et/ou la couleur, ont permis de développer un véritable champ de réflexion. La question cruciale de l’articulation du sexisme et du racisme, notamment, a ainsi renouvelé tout autant l’agenda des mouvements féministes que la recherche universitaire.
Cet ouvrage a pour but d’interroger les différents outils critiques pour penser l’articulation des rapports de pouvoir. Tout en interrogeant leur mode propre de catégorisation (les catégories de « sexe » et de « race » ont-elles méthodologiquement le même statut que la classe ? À quelles conditions utiliser la catégorie de « race » comme une catégorie d’analyse ? L’analyse en termes de classe a-t-elle été éclipsée par l’analyse croisée du sexisme et du racisme, après les avoir longtemps occultés ?...) cet ouvrage discute les différents modes de conceptualisation de ce que l’on pourrait appeler « l’hydre de la domination » : analogique, arithmétique, géométrique, généalogique.
À partir de différentes traditions disciplinaires (sociologie, science politique, philosophie, psychologie, littérature…), les contributions ici réunies présentent un état des lieux des diverses appréhensions de l’imbrication des rapports de pouvoir — « intersectionnalité », « consubstantialité », « mondialité », « postcolonialité », … et, ce faisant, (re)dessinent les contours d’une véritable épistémologie de la domination.Sexe,race, classe : pour une épistémologie de la domination [texte imprimé] / Elsa Dorlin, Auteur . - Paris (France) : PUF, 2019 . - 313 p : 07.02.DOR. - (Actuel Marx Contemporain) .
Langues : Français (fre)
Tags : Féminisme Genre Emploi Travail Histoire sociale Index. décimale : 07.02 Société Résumé : La pensée féministe s’est historiquement attachée, depuis — voire en dehors de — la tradition matérialiste, à montrer que le rapport de classe n’épuise pas l’expérience de la domination vécue par les femmes et, plus généralement, par les minorités sexuelles. Plus encore, en élaborant des outils d’analyse tels que le « mode de production domestique », les « rapports sociaux de sexe » ou le « rapport de genre », la pensée féministe a travaillé sur l’imbrication des rapports de pouvoir, dénaturalisant la catégorie de « sexe » à l’aune de ses déterminations historico-sociales.
Depuis quelques années en France, la réflexion sur l’imbrication des rapports de pouvoir s’est complexifiée davantage, notamment sous l’influence des travaux nord et sud-américains, mais aussi caribéens ou indiens. Les problématiques relatives aux identités sexuelles, aux régimes de sexualité, mais aussi celles articulant le genre et la nation, la religion et/ou la couleur, ont permis de développer un véritable champ de réflexion. La question cruciale de l’articulation du sexisme et du racisme, notamment, a ainsi renouvelé tout autant l’agenda des mouvements féministes que la recherche universitaire.
Cet ouvrage a pour but d’interroger les différents outils critiques pour penser l’articulation des rapports de pouvoir. Tout en interrogeant leur mode propre de catégorisation (les catégories de « sexe » et de « race » ont-elles méthodologiquement le même statut que la classe ? À quelles conditions utiliser la catégorie de « race » comme une catégorie d’analyse ? L’analyse en termes de classe a-t-elle été éclipsée par l’analyse croisée du sexisme et du racisme, après les avoir longtemps occultés ?...) cet ouvrage discute les différents modes de conceptualisation de ce que l’on pourrait appeler « l’hydre de la domination » : analogique, arithmétique, géométrique, généalogique.
À partir de différentes traditions disciplinaires (sociologie, science politique, philosophie, psychologie, littérature…), les contributions ici réunies présentent un état des lieux des diverses appréhensions de l’imbrication des rapports de pouvoir — « intersectionnalité », « consubstantialité », « mondialité », « postcolonialité », … et, ce faisant, (re)dessinent les contours d’une véritable épistémologie de la domination.