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Titre : Changer les mots, changer le monde Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Alain Deneault, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Présence et Action Culturelles asbl Année de publication : printemps 2018 Collection : Agir par la Culture num. 53 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Tags : Mouvements sociaux Femmes Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Les batailles sémantiques s’illustrent de manière très appuyée dans les luttes féministes, notamment dans le contexte actuel de la multiplication des témoignages d’agressions sexuelles subies
par les femmes. Les réseaux sociaux sont un témoin particulier et inquiétant de toutes ces luttes de mots – de maux ? – souvent brandis comme des armes. Le pouvoir des mots sont d’abord les mots du pouvoir.En ligne : https://www.agirparlaculture.be/pdf/apc_53.pdf Changer les mots, changer le monde [texte imprimé] / Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Alain Deneault, Auteur . - Bruxelles (rue Lambert Crickx, 5, 1070, Belgique) : Présence et Action Culturelles asbl, printemps 2018 . - 43 p. - (Agir par la Culture; 53) .
Langues : Français (fre)
Tags : Mouvements sociaux Femmes Index. décimale : 07.02 Société Résumé : Les batailles sémantiques s’illustrent de manière très appuyée dans les luttes féministes, notamment dans le contexte actuel de la multiplication des témoignages d’agressions sexuelles subies
par les femmes. Les réseaux sociaux sont un témoin particulier et inquiétant de toutes ces luttes de mots – de maux ? – souvent brandis comme des armes. Le pouvoir des mots sont d’abord les mots du pouvoir.En ligne : https://www.agirparlaculture.be/pdf/apc_53.pdf
Titre : Dans quel monde vivons-nous ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Lannoye, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur ; Alain Deneault, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : juin-juillet-août 2021 Collection : Kairos num. 50 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Capitalisme Environnement Résumé : Le coronavirus n'est-il pas une forme d'apothéose de tout ce qui se passe depuis longtemps, qui s'inscrit cyniquement et "normalement" dans les productions d'une société qui a fait primer la démesure sur le bien commun. Selon d'où l'on se situe, on pourra donc dire que rien ne va dans notre société, mais d'un autre point de vue, que tout fonctionne très bien. Dans le premier cas, on nommera les écarts indécents entre riches et pauvres qui se creusent irrémédiablement, les catastrophes naturelles qui augmentent de par leur nombre et leur ampleur, la disparition de la flore, la dramatique sujétion de la vie humaine aux algorithmes et aux écrans, la sixième crise d’extinction des espèces, etc. Dans le second, on constatera que les multinationales n’ont jamais été aussi puissantes, les médias concentrés aux mains des élites financières et autres grosses fortunes, que les dividendes pleuvent sur des riches de plus en plus riches, que la destruction est créative de richesses, concentrées, avant tout. Et que malgré tout cela, nombreux croient encore en la théorie du ruissellement. Note de contenu : -capitalisme et crise sanitaire p.6
-laïcité et décroissance p.16-17
-manipuler la planète! Quand les experts nous y préparent p.20En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 Dans quel monde vivons-nous ? [texte imprimé] / Paul Lannoye, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur ; Alain Deneault, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, juin-juillet-août 2021 . - 24 p. - (Kairos; 50) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Capitalisme Environnement Résumé : Le coronavirus n'est-il pas une forme d'apothéose de tout ce qui se passe depuis longtemps, qui s'inscrit cyniquement et "normalement" dans les productions d'une société qui a fait primer la démesure sur le bien commun. Selon d'où l'on se situe, on pourra donc dire que rien ne va dans notre société, mais d'un autre point de vue, que tout fonctionne très bien. Dans le premier cas, on nommera les écarts indécents entre riches et pauvres qui se creusent irrémédiablement, les catastrophes naturelles qui augmentent de par leur nombre et leur ampleur, la disparition de la flore, la dramatique sujétion de la vie humaine aux algorithmes et aux écrans, la sixième crise d’extinction des espèces, etc. Dans le second, on constatera que les multinationales n’ont jamais été aussi puissantes, les médias concentrés aux mains des élites financières et autres grosses fortunes, que les dividendes pleuvent sur des riches de plus en plus riches, que la destruction est créative de richesses, concentrées, avant tout. Et que malgré tout cela, nombreux croient encore en la théorie du ruissellement. Note de contenu : -capitalisme et crise sanitaire p.6
-laïcité et décroissance p.16-17
-manipuler la planète! Quand les experts nous y préparent p.20En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 L'économie de la nature / Alain Deneault
Titre : L'économie de la nature : Feuilleton théorique 1 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault, Auteur Editeur : Lux Editeur Année de publication : 2019 Importance : 137 p. Note générale : 06.02 DEN Langues : Français (fre) Tags : Économie politique Environnement Écologie Politique sociale Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : L’expression «économie de la nature» a surgi dans le vocabulaire des sciences au XVIIIe siècle bien avant que le néologisme «écologie» ne s’impose à nous, plus d’un siècle et demi plus tard. Chez Carl von Linné, Gilbert White ou Charles Darwin, l’économie de la nature désigne l’organisation des relations entre les espèces au vu du climat, du territoire et de leur évolution. Cette économie pense l’imbrication des espèces, y compris les êtres humains, dans un réseau d’interactions incommensurables et impondérables. Mais très vite, les physiocrates, les premiers «économistes», la dévoient pour fonder une science de l’agriculture subordonnée à de prétendues lois du marché. Un détournement dont nous pâtissons jusqu’à ce jour.
Tant que ne sera pas restitué son sens, le terme «économie» nous donnera l’impression de voir double dès lors que flanqué de celui d’«écologie». Il nous sera alors dit qu’il faut tenter de réconcilier l’une à l’autre, comme s’il s’agissait de deux champs distincts. Ce court essai s’emploie à redonner ses droits à l’économie de la nature.L'économie de la nature : Feuilleton théorique 1 [texte imprimé] / Alain Deneault, Auteur . - [S.l.] : Lux Editeur, 2019 . - 137 p.
06.02 DEN
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Tags : Économie politique Environnement Écologie Politique sociale Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : L’expression «économie de la nature» a surgi dans le vocabulaire des sciences au XVIIIe siècle bien avant que le néologisme «écologie» ne s’impose à nous, plus d’un siècle et demi plus tard. Chez Carl von Linné, Gilbert White ou Charles Darwin, l’économie de la nature désigne l’organisation des relations entre les espèces au vu du climat, du territoire et de leur évolution. Cette économie pense l’imbrication des espèces, y compris les êtres humains, dans un réseau d’interactions incommensurables et impondérables. Mais très vite, les physiocrates, les premiers «économistes», la dévoient pour fonder une science de l’agriculture subordonnée à de prétendues lois du marché. Un détournement dont nous pâtissons jusqu’à ce jour.
Tant que ne sera pas restitué son sens, le terme «économie» nous donnera l’impression de voir double dès lors que flanqué de celui d’«écologie». Il nous sera alors dit qu’il faut tenter de réconcilier l’une à l’autre, comme s’il s’agissait de deux champs distincts. Ce court essai s’emploie à redonner ses droits à l’économie de la nature.Mauvaises langues / Aurélien Berthier
Titre : Mauvaises langues : Discrimination par le langage, langage des discriminations Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Alain Deneault, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Présence et Action Culturelles asbl Année de publication : hiver 2017 Collection : Agir par la Culture num. 52 Importance : 43 p Langues : Français (fre) Tags : Politique économique Capitalisme Sociétés transnationales Économie mondiale Total Pétrole Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Alain Deneault, docteur en philosophie, développe une œuvre documentée et conséquente traitant de différents aspects du capitalisme contemporain, de son idéologie, de ses mots, de ses outils de coercition : paradis fiscaux, gouvernance, extrême-centre, médiocratie... Dans "Le totalitarisme pervers" et De quoi Total est-il la somme ?", il s'attache au cas d'école que représente le groupe pétrolier Total, en dresse la généalogie, le champ d'action, l'idéologie et les dégâts, pour montrer comment les multinationales font leurs Loi, celle du marché. Mauvaises langues : Discrimination par le langage, langage des discriminations [texte imprimé] / Aurélien Berthier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Alain Deneault, Auteur . - Bruxelles (rue Lambert Crickx, 5, 1070, Belgique) : Présence et Action Culturelles asbl, hiver 2017 . - 43 p. - (Agir par la Culture; 52) .
Langues : Français (fre)
Tags : Politique économique Capitalisme Sociétés transnationales Économie mondiale Total Pétrole Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : Alain Deneault, docteur en philosophie, développe une œuvre documentée et conséquente traitant de différents aspects du capitalisme contemporain, de son idéologie, de ses mots, de ses outils de coercition : paradis fiscaux, gouvernance, extrême-centre, médiocratie... Dans "Le totalitarisme pervers" et De quoi Total est-il la somme ?", il s'attache au cas d'école que représente le groupe pétrolier Total, en dresse la généalogie, le champ d'action, l'idéologie et les dégâts, pour montrer comment les multinationales font leurs Loi, celle du marché.
Titre : Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Deneault, Auteur Editeur : Montréal [Canada] : Ecosociété Année de publication : 2011 Importance : 352 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Noir Canada : Pillage, corruption et criminalité en Afrique [texte imprimé] / Alain Deneault, Auteur . - Montréal (Canada) : Ecosociété, 2011 . - 352 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique
Industrie minièreTags : Industrie minière Canada Ressources naturelles Barrick Gold Corporation Afrique Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Noir Canada remet en cause l’image largement répandue sur la scène internationale et défendue avec conviction par le discours officiel canadien, d’un Canada bon, pacifiste et généreux. Présenté comme le grand frère bienfaiteur, le Canada appuie pourtant politiquement et financièrement des sociétés qui exploitent le sol africain (et enregistrent des profits colossaux à la Bourse de Toronto), alors que, selon un ensemble de sources internationales, elles apparaîtraient mêlées à de sérieux cas d’abus en Afrique… Le Canada serait-il un « paradis judiciaire » pour les sociétés minières? Alain Deneault décrit toute l’architecture d’un système politique et financier honteux, qui de fait légitime et soutient le pillage des ressources du continent africain. Rédigé à partir de sources déjà rendues publiques, ce livre soutient avec éloquence que le Canada est loin de cet « ami de l’Afrique » qu’il se targue d’être.
À la lecture de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique,
une épithète s’impose : livre nécessaire.
Déclaration publique conjointe
Règlement de l’action de Barrick Gold contre les auteurs et l’éditeur de Noir Canada
Barrick Gold Corporation (« Barrick »), Alain Deneault, Delphine Abadie et William Sacher (collectivement, les « Auteurs ») et Les Éditions Écosociété Inc. (« Écosociété ») annoncent qu’ils ont réglé hors Cour l’action en diffamation intentée par Barrick en avril 2008 en Cour supérieure du Québec en relation avec le livre Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique (« Noir Canada ») écrit par les Auteurs et publié par Écosociété (l’« Action »).
Afin de régler le litige qui l’oppose à Barrick, Écosociété met fin à la publication et l’impression de Noir Canada et a effectué un paiement significatif à Barrick.
Une partie de Noir Canada se rapporte à des allégations concernant l’implication alléguée de Barrick en Tanzanie en 1996. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont pas de preuve d’implication de Barrick en Tanzanie en 1996 et que Barrick et d’autres parties contestent les allégations entourant les événements à la concession de Bulyanhulu en 1996.
En relation avec le contenu de Noir Canada concernant le Congo, Barrick reconnaît que la thèse des Auteurs et de plusieurs autres personnes est à l’effet que la présence de plusieurs ressources minérales, dont l’or, au Congo était un des principaux motifs à l’origine des conflits dans ce pays et que la présence de compagnies minières transnationales dans une région en guerre, telle les Grands Lacs africains peut avoir des conséquences imprévues et sérieuses.
Les Auteurs reconnaissent que bien que ces questions aient été étudiées de façon approfondie par un groupe d’experts des Nations Unies, en 2001-2002, ces experts n’ont fait aucune mention de Barrick. Les Auteurs reconnaissent que Barrick a présenté des documents et témoignages indiquant qu’elle n’a eu qu’une présence très limitée au Congo à l’été de 1996 exécutant du travail exploratoire sur une petite partie d’une concession minière de 82 000 km² au Congo et indiquant qu’elle n’a eu aucune implication dans les conflits au Congo. Les Auteurs reconnaissent qu’ils n’ont aucune preuve à l’effet contraire.
Barrick, les Auteurs et Écosociété conviennent que l’Action instituée par Barrick et l’écriture et la publication du livre Noir Canada par les Auteurs et Écosociété ont été entreprises de bonne foi et avec la conviction qu’elles étaient légitimes.
Les Auteurs réitèrent ce qu’ils ont écrit dans l’introduction de Noir Canada, à savoir que « cet ouvrage ne constitue pas une condamnation sommaire de sociétés » qu’il cite, et qu’ils ne s’étaient pas donné pour mandat d’assurer ultimement la véracité des allégations que le livre développe à partir de documents publics. Les Auteurs maintiennent que Noir Canada a été écrit afin de susciter un débat public sur la présence controversée d’intérêts canadiens en Afrique et d’en appeler à la création d’une commission d’enquête sur cette présence canadienne en Afrique. Ils maintiennent toujours cette position et continuent de s’enquérir du rôle des sociétés privées actives en tant que partenaires commerciaux auprès de représentants politiques africains engagés dans des conflits armés.
Écosociété considère que Noir Canada est pertinent et d’intérêt public, que la thèse qui y est développée constitue une contribution essentielle à la pensée critique et méritait d’être publiée. Écosociété entend poursuivre sa mission d’éditeur indépendant qui publie des essais d’intérêt public visant à susciter des débats de société.Note de contenu : Livre retiré de la vente sur ordre de la justice canadienne En ligne : http://www.ecosociete.org/entente.php Paul Martin et compagnies / Alain Deneault
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