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Aperçu de l'industrie automobile en Chine et en Corée du Sud / Eric Fulcheri
Titre : Aperçu de l'industrie automobile en Chine et en Corée du Sud : perspectives du marché, risques et opportunités Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Fulcheri, Auteur Editeur : BNP Paribas Année de publication : janv-ferv 2005 Collection : Conjoncture num. 1 Importance : p. 22-30 Langues : Français (fre) Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile Aperçu de l'industrie automobile en Chine et en Corée du Sud : perspectives du marché, risques et opportunités [texte imprimé] / Eric Fulcheri, Auteur . - [S.l.] : BNP Paribas, janv-ferv 2005 . - p. 22-30. - (Conjoncture; 1) .
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Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile
Titre : Les enjeux de l'industrie automobile face au réchauffement climatique Type de document : document électronique Auteurs : François Jaumain, Auteur Editeur : Paris [France] : La documentation française Année de publication : mai 2008 Collection : Problèmes économiques num. 2947 Importance : p. 38-42 Langues : Français (fre) Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile Changement climatique En ligne : http://base.d-p-h.info/fr/fiches/dph/fiche-dph-8647.html Les enjeux de l'industrie automobile face au réchauffement climatique [document électronique] / François Jaumain, Auteur . - Paris (29, quai Voltaire, 75007, France) : La documentation française, mai 2008 . - p. 38-42. - (Problèmes économiques; 2947) .
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Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile Changement climatique En ligne : http://base.d-p-h.info/fr/fiches/dph/fiche-dph-8647.html Grain de sable sous le capot / Marcel Durand
Titre : Grain de sable sous le capot : Résistance et contre-culture ouvrière: les chaînes de montage de Peugeot (1972-2003) Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel Durand, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2006 Collection : Mémoiresociales Importance : 428 p Note générale : 04.02 DUR Langues : Français (fre) Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile Mouvement ouvrier Peugeot France Histoire sociale Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : D’autres ouvriers auraient pu écrire cette chronique de la chaîne à Peugeot-Sochaux, que j’ai signée du pseudonyme de Marcel Durand pour ne pas m’approprier cette mémoire collective. Je prenais des notes à l’occasion d’événements marquants : prises de gueule avec le chef, rigolades entre collègues, débrayages, grèves. Je voulais garder une trace de cette vie à la chaîne, décrire l’ambiance du travail. Pour moi. Pour les copains de galère aussi. Pour faire une sorte d’album de famille de la dizaine de vrais copains de la Carrosserie.
Huit heures par jour au boulot, ce n’est pas rien. Même si on résiste, la chaîne déteint sur nous. En ville, on continue de courir comme si on était toujours à s’agiter autour des carcasses de bagnoles. On parle fort parce que les machines ne s’arrêtent jamais de nous vriller les oreilles. On laisse des plumes au boulot. Plusieurs copains y ont laissé leur peau.
Écrit par un ouvrier de Sochaux, Hubert Truxler (alias Marcel Durand) a passé trente ans en chaîne. ce livre raconte la vie au jour le jour d’un OS de base. Il montre comment l’usine ne cesse d’exercer sa violence et comment une résistance, à la fois spontanée et organisée, se manifeste sous des formes toujours nouvelles face aux « innovations » du management.
La singularité de ce texte tient à ce qu’il nous fait entendre la voix d’un « ouvrier ordinaire », c’est-à-dire celui qui d’habitude n’est pas entendu parce qu’il n’a pas de légitimité particulière pour prendre la parole.
L’auteur, incarne la figure du travailleur récalcitrant, conscient qu’il vaut autant que les autres.Grain de sable sous le capot : Résistance et contre-culture ouvrière: les chaînes de montage de Peugeot (1972-2003) [texte imprimé] / Marcel Durand, Auteur . - Marseille : Agone, 2006 . - 428 p. - (Mémoiresociales) .
04.02 DUR
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Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile Mouvement ouvrier Peugeot France Histoire sociale Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : D’autres ouvriers auraient pu écrire cette chronique de la chaîne à Peugeot-Sochaux, que j’ai signée du pseudonyme de Marcel Durand pour ne pas m’approprier cette mémoire collective. Je prenais des notes à l’occasion d’événements marquants : prises de gueule avec le chef, rigolades entre collègues, débrayages, grèves. Je voulais garder une trace de cette vie à la chaîne, décrire l’ambiance du travail. Pour moi. Pour les copains de galère aussi. Pour faire une sorte d’album de famille de la dizaine de vrais copains de la Carrosserie.
Huit heures par jour au boulot, ce n’est pas rien. Même si on résiste, la chaîne déteint sur nous. En ville, on continue de courir comme si on était toujours à s’agiter autour des carcasses de bagnoles. On parle fort parce que les machines ne s’arrêtent jamais de nous vriller les oreilles. On laisse des plumes au boulot. Plusieurs copains y ont laissé leur peau.
Écrit par un ouvrier de Sochaux, Hubert Truxler (alias Marcel Durand) a passé trente ans en chaîne. ce livre raconte la vie au jour le jour d’un OS de base. Il montre comment l’usine ne cesse d’exercer sa violence et comment une résistance, à la fois spontanée et organisée, se manifeste sous des formes toujours nouvelles face aux « innovations » du management.
La singularité de ce texte tient à ce qu’il nous fait entendre la voix d’un « ouvrier ordinaire », c’est-à-dire celui qui d’habitude n’est pas entendu parce qu’il n’a pas de légitimité particulière pour prendre la parole.
L’auteur, incarne la figure du travailleur récalcitrant, conscient qu’il vaut autant que les autres.L'industrie automobile à la peine? / Gilles Reinaud
Titre : L'industrie automobile à la peine? : surcapacités et retournement des marchés Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Reinaud, Auteur Editeur : BNP Paribas Année de publication : juin 2001 Collection : Conjoncture num. 6 Importance : p. 25-32 Langues : Français (fre) Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile L'industrie automobile à la peine? : surcapacités et retournement des marchés [texte imprimé] / Gilles Reinaud, Auteur . - [S.l.] : BNP Paribas, juin 2001 . - p. 25-32. - (Conjoncture; 6) .
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Catégories : Industrie automobile Tags : Industrie automobile
Titre : Le lobby automobile européen : Analyse critique de l'influence de l'industrie automobile Type de document : texte imprimé Auteurs : Hendrik Sander, Auteur ; Tobias Haas, Auteur Editeur : Rosa Luxemburg Foundation Année de publication : August 2019 Importance : 33 p Note générale : 04.02.HAA Langues : Anglais (eng) Français (fre) Catégories : Lobbying
Industrie automobileTags : Industrie automobile Europe UE Lobbying Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : The story of the European Union (EU) is often told as a tale of peace and economic prosperity. However, it can also be framed in terms of rapid growth in the transport sector, which is firmly in the grip of ‘fossil capitalism’. The invention at the heart of this mobility model, which is causing widespread environmental destruction, is the internal combustion engine (Candeias et al. 2011; Balsmeyer/Knierim 2018; Haas 2018).
A glance at greenhouse gas balances makes this clear, as the transport sector was responsible for roughly 25% of EU-wide emissions in 2015. Although carmakers pledged to reduce their greenhouse gas emissions back in 1998, their voluntary commitment has had no effect on emissions. Consequently, the EU decided to impose a binding fleet target of 95 grams of CO2 per kilometre by 2021. In late 2018, the EU agreed that emissions from new cars must fall by an average of 37.5% by 2030. This was a notable success for environmentalists. However, the decisions taken are still way behind the 2015 Paris climate agreement to restrict global warming to 1.5° Celsius.
Not only is growing traffic heating up the Earth’s atmosphere, but the fine particulate matter and nitrogen oxide emitted by internal combustion engines is severely damaging human health. The diesel scandal showed that car companies manipulated the software in diesel vehicles to ensure that in laboratory tests their particulate and nitrogen emissions were a fraction of the levels found in actual road traffic. Whereas courts in the United States have made Volkswagen in particular pay out billions of dollars in compensation, so far politicians in the EU have handled the automotive industry with kid gloves.
Cars are continuing to emit huge quantities of toxic pollutants, and policymakers are taking no effective steps to stop them, largely because of carmakers’ economic clout and powerful political lobbying. Volkswagen and other automotive manufacturers are among the most powerful businesses in the European Union.
For decades now, they have maintained very close links with the EU institutions, exerting substantial influence on their policy. So far, carmakers have successfully blocked effective climate-related and environmental protective measures in the European transport sector.
However, they risk missing a major turning point. For years now, the importance of alternative forms of propulsion, like the batteries used by electric vehicles, new mobility services such as car sharing and the interconnection of various modes of transport has been growing. Today, even autonomous cars are being tested (PwC 2017-2018; Daum 2018). Companies like Tesla, Apple, Google and China’s BYD are pioneers in taking these developments forward. And the long-established car companies are now also pumping billions of euros into new technologies. At the same time, they are trying to defend their traditional business model, based on the internal combustion engine, for as long as possible – so far relatively successfully.
Regardless of whether the big carmakers succeed in leveraging their lobbying power to perpetuate the status quo in their industry or whether we end up seeing large numbers of driverless electric cars on our roads in the not-too-distant future, neither scenario will meet the need for a socio-environmental transport revolution.
This would require the replacement of the car by public transport, traffic avoidance measures and, last but not least, the transformation of residential areas and time regimes (Balsmeyer/Knierim 2018; MISEREOR/Brot für die Welt/Powershift 2018; Haas 2018). How can leftist political actors help to enforce ambitious limit values and hasten the demise of the internal combustion engine? Also, how can they prevent the transport revolution from being limited to smart and electric cars? The first prerequisite for achieving these goals is to analyse the huge lobbying power of automotive capital in the EU and devise strategies for breaking it apart.En ligne : https://www.rosalux.eu/publications/the-european-car-lobby/?L=930 Format de la ressource électronique : https://www.rosalux.eu/fileadmin/user_upload/Autolobby-FR-WEB.pdf Le lobby automobile européen : Analyse critique de l'influence de l'industrie automobile [texte imprimé] / Hendrik Sander, Auteur ; Tobias Haas, Auteur . - [S.l.] : Rosa Luxemburg Foundation, August 2019 . - 33 p.
04.02.HAA
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
Catégories : Lobbying
Industrie automobileTags : Industrie automobile Europe UE Lobbying Index. décimale : 04.02 Entreprises Résumé : The story of the European Union (EU) is often told as a tale of peace and economic prosperity. However, it can also be framed in terms of rapid growth in the transport sector, which is firmly in the grip of ‘fossil capitalism’. The invention at the heart of this mobility model, which is causing widespread environmental destruction, is the internal combustion engine (Candeias et al. 2011; Balsmeyer/Knierim 2018; Haas 2018).
A glance at greenhouse gas balances makes this clear, as the transport sector was responsible for roughly 25% of EU-wide emissions in 2015. Although carmakers pledged to reduce their greenhouse gas emissions back in 1998, their voluntary commitment has had no effect on emissions. Consequently, the EU decided to impose a binding fleet target of 95 grams of CO2 per kilometre by 2021. In late 2018, the EU agreed that emissions from new cars must fall by an average of 37.5% by 2030. This was a notable success for environmentalists. However, the decisions taken are still way behind the 2015 Paris climate agreement to restrict global warming to 1.5° Celsius.
Not only is growing traffic heating up the Earth’s atmosphere, but the fine particulate matter and nitrogen oxide emitted by internal combustion engines is severely damaging human health. The diesel scandal showed that car companies manipulated the software in diesel vehicles to ensure that in laboratory tests their particulate and nitrogen emissions were a fraction of the levels found in actual road traffic. Whereas courts in the United States have made Volkswagen in particular pay out billions of dollars in compensation, so far politicians in the EU have handled the automotive industry with kid gloves.
Cars are continuing to emit huge quantities of toxic pollutants, and policymakers are taking no effective steps to stop them, largely because of carmakers’ economic clout and powerful political lobbying. Volkswagen and other automotive manufacturers are among the most powerful businesses in the European Union.
For decades now, they have maintained very close links with the EU institutions, exerting substantial influence on their policy. So far, carmakers have successfully blocked effective climate-related and environmental protective measures in the European transport sector.
However, they risk missing a major turning point. For years now, the importance of alternative forms of propulsion, like the batteries used by electric vehicles, new mobility services such as car sharing and the interconnection of various modes of transport has been growing. Today, even autonomous cars are being tested (PwC 2017-2018; Daum 2018). Companies like Tesla, Apple, Google and China’s BYD are pioneers in taking these developments forward. And the long-established car companies are now also pumping billions of euros into new technologies. At the same time, they are trying to defend their traditional business model, based on the internal combustion engine, for as long as possible – so far relatively successfully.
Regardless of whether the big carmakers succeed in leveraging their lobbying power to perpetuate the status quo in their industry or whether we end up seeing large numbers of driverless electric cars on our roads in the not-too-distant future, neither scenario will meet the need for a socio-environmental transport revolution.
This would require the replacement of the car by public transport, traffic avoidance measures and, last but not least, the transformation of residential areas and time regimes (Balsmeyer/Knierim 2018; MISEREOR/Brot für die Welt/Powershift 2018; Haas 2018). How can leftist political actors help to enforce ambitious limit values and hasten the demise of the internal combustion engine? Also, how can they prevent the transport revolution from being limited to smart and electric cars? The first prerequisite for achieving these goals is to analyse the huge lobbying power of automotive capital in the EU and devise strategies for breaking it apart.En ligne : https://www.rosalux.eu/publications/the-european-car-lobby/?L=930 Format de la ressource électronique : https://www.rosalux.eu/fileadmin/user_upload/Autolobby-FR-WEB.pdf Documents numériques
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