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Quand le capitalisme perd la tête / Joseph E. Stiglitz
Titre : Quand le capitalisme perd la tête Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph E. Stiglitz, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2003 Importance : 416 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information. Quand le capitalisme perd la tête [texte imprimé] / Joseph E. Stiglitz, Auteur . - Paris : Fayard, 2003 . - 416 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Capitalisme
Histoire économiqueTags : Capitalisme Science économique Crise économique Politique monétaire Déréglementation Comptabilité Nouvelle économie Télécommunications Banques Mondialisation Enron Electricité Alternatives Index. décimale : 01 Economie Résumé : Poursuivant le procès du libéralisme sans limites amorcé dans La Grande Désillusion, Joseph Stiglitz s'appuie cette fois sur sort expérience de quatre ans en tant que conseiller économique principal du président Clinton pour répondre à une question centrale : comment, au tournant du troisième millénaire, est-on passé du prétendu " triomphe " du capitalisme à l'américaine - bien entendu surévalué et fondé sur des bases très incertaines, notamment l'effervescence boursière et tout ce qui s'ensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires...) - à une chute retentissante ? Avec une clarté de propos remarquable et une attention constante aux mécanismes économiques les plus concrets, il aborde le phénomène de la bulle spéculative, la vague des déréglementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des télécommunications - et leurs conséquences, ou encore les scandales comptables, à commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro. A l'occasion de cette plongée au cœur des centres de décision la plus grande économie de marché du monde, l'auteur procède à la démolition des divers mythes qui étaient au fondement des politiques économiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les années 1990 : la réduction du déficit ne relance pas l'économie, l'impact des guerres sur cette dernière est négatif ; il n'y a pas de " héros " économiques (c'est la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " d'Adam Smith est invisible pour la bonne raison qu'elle n'existe pas ; la finance n'est pas la source de toute sagesse ; l'Etat n'est pas systématiquement mauvais... Enfin, fort de ses observations, Stiglitz esquisse les grandes lignes d'un " idéalisme démocratique ", vision d'avenir fondée sur un juste équilibre entre le marché et l'Etat, et sur des valeurs telles que la justice sociale (égalité des chances, priorité à l'emploi) ou encore le droit du citoyen à l'information. Quelle Europe après le non ? / Raoul Marc Jennar
Titre : Quelle Europe après le non ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Raoul Marc Jennar, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2007 Importance : 175 p. Langues : Français (fre) Catégories : Europe Tags : Crise économique UE Alternatives Emploi Travail Politique sociale Marché du travail Développement économique Gouverna Sécurité sociale Europe Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : Ce qui a été sanctionné avant tout, c’est l’incapacité des gouvernements à concrétiser le rêve européen. Ce qui a été refusé, c’est une Europe limitée au commercial, à l’économique et au financier. Ce qui a été condamné, c’est l’absence d’Europe démocratique, d’Europe sociale, d’Europe écologique. Ce que demande l’immense majorité, ce n’est pas moins d’Europe, mais plus d’Europe. Pour réaliser une autre Europe que celle des marchands, des hommes d’affaires et des banquiers.
Quelle Europe voulons-nous ? Voulons-nous tous une Europe politique ? Quelle organisation de l’Europe voulons-nous ? Voulons-nous une Europe européenne ? Quels rapports entendons-nous établir entre l’Europe et le reste du monde ?
La réponse à ces questions devrait précéder la rédaction du « traité modificatif » en préparation afin d’enrayer un processus de désintérêt, voire d’hostilité à l’égard du projet européen.
Quelle Europe après le non ? [texte imprimé] / Raoul Marc Jennar, Auteur . - Paris : Fayard, 2007 . - 175 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Europe Tags : Crise économique UE Alternatives Emploi Travail Politique sociale Marché du travail Développement économique Gouverna Sécurité sociale Europe Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : Ce qui a été sanctionné avant tout, c’est l’incapacité des gouvernements à concrétiser le rêve européen. Ce qui a été refusé, c’est une Europe limitée au commercial, à l’économique et au financier. Ce qui a été condamné, c’est l’absence d’Europe démocratique, d’Europe sociale, d’Europe écologique. Ce que demande l’immense majorité, ce n’est pas moins d’Europe, mais plus d’Europe. Pour réaliser une autre Europe que celle des marchands, des hommes d’affaires et des banquiers.
Quelle Europe voulons-nous ? Voulons-nous tous une Europe politique ? Quelle organisation de l’Europe voulons-nous ? Voulons-nous une Europe européenne ? Quels rapports entendons-nous établir entre l’Europe et le reste du monde ?
La réponse à ces questions devrait précéder la rédaction du « traité modificatif » en préparation afin d’enrayer un processus de désintérêt, voire d’hostilité à l’égard du projet européen.
La société translucide / Augustin Landier
Titre : La société translucide : pour en finir avec le mythe de l'Etat bienveillant Type de document : texte imprimé Auteurs : Augustin Landier, Auteur ; David Thesmar, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2010 Importance : 285 p Note générale : 01.LAN Langues : Français (fre) Catégories : Politique économique Tags : Politique économique Etat Finance Régulation Réformes Société France Index. décimale : 01 Economie Résumé : L’État est de retour sur le devant de la scène économique. Il aide les entreprises défaillantes, investit dans les secteurs jugés stratégiques, dit son mot sur la nomination des grands patrons, définit de nouvelles règles. Beau programme, sauf qu’en matière fiscale, bancaire ou industrielle, il y a un gouffre entre les effets d’annonce et la réalité. Il ne suffit hélas pas d’invoquer l’intérêt général pour le promouvoir. Il n’y a pas de pilote bienveillant aux commandes de l’appareil d’État mais des hommes inévitablement dotés d’intérêts particuliers, guettant les prochaines élections, ou tout simplement soucieux d’optimiser leurs carrières.
Oublions donc la mythique neutralité d’un État aux mains propres et efficaces ! Fixons-nous plutôt des objectifs concrets, modestes et aux résultats contrôlables : livrer une information fiable et détaillée aux citoyens exigeants que nous sommes devenus, prêter une oreille attentive à nos critiques légitimes. Pour échapper à la tyrannie du court-terme et à la multiplication des réformes avortées, Augustin Landier et David Thesmar donnent le mode d’emploi d’une société translucide, autrement dit assez adulte pour sauver, dans la décennie qui s’ouvre, le modèle français. (Fiche de lecture: http://appli6.hec.fr/amo/Public/Files/Docs/215_fr.pdf)La société translucide : pour en finir avec le mythe de l'Etat bienveillant [texte imprimé] / Augustin Landier, Auteur ; David Thesmar, Auteur . - Paris : Fayard, 2010 . - 285 p.
01.LAN
Langues : Français (fre)
Catégories : Politique économique Tags : Politique économique Etat Finance Régulation Réformes Société France Index. décimale : 01 Economie Résumé : L’État est de retour sur le devant de la scène économique. Il aide les entreprises défaillantes, investit dans les secteurs jugés stratégiques, dit son mot sur la nomination des grands patrons, définit de nouvelles règles. Beau programme, sauf qu’en matière fiscale, bancaire ou industrielle, il y a un gouffre entre les effets d’annonce et la réalité. Il ne suffit hélas pas d’invoquer l’intérêt général pour le promouvoir. Il n’y a pas de pilote bienveillant aux commandes de l’appareil d’État mais des hommes inévitablement dotés d’intérêts particuliers, guettant les prochaines élections, ou tout simplement soucieux d’optimiser leurs carrières.
Oublions donc la mythique neutralité d’un État aux mains propres et efficaces ! Fixons-nous plutôt des objectifs concrets, modestes et aux résultats contrôlables : livrer une information fiable et détaillée aux citoyens exigeants que nous sommes devenus, prêter une oreille attentive à nos critiques légitimes. Pour échapper à la tyrannie du court-terme et à la multiplication des réformes avortées, Augustin Landier et David Thesmar donnent le mode d’emploi d’une société translucide, autrement dit assez adulte pour sauver, dans la décennie qui s’ouvre, le modèle français. (Fiche de lecture: http://appli6.hec.fr/amo/Public/Files/Docs/215_fr.pdf)Terreur africaine / Colette Braeckman
Titre : Terreur africaine : Burundi, Rwanda, Zaïre les racines de la violence Type de document : texte imprimé Auteurs : Colette Braeckman, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 1996 Importance : 347 p Langues : Français (fre) Catégories : Afrique Tags : Afrique Géopolitique Conflits Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Pourquoi faut-il que des Hutus massacrent des Tutsis, que des Tutsis massacrent des Hutus? Luttes tribales, dit-on, séculaires, inévitables... Mais peut-on se satisfaire d'une explication aussi simpliste ? La réalité apparaît bien différente, et enfin compréhensible, quand on prend la peine de l'étudier de près. Au Burundi et au Rwanda, où coexistaient des groupes sociaux différents, des clans rivaux, c'est la colonisation, relayée par l'Eglise catholique, qui a semé les germes de la haine, transformé une lutte sociale en affrontement ethnique: les bombes à retardement exploseront bien plus tard, lorsque la majeure partie des intéressés auront fini par s'identifier à l'image qu'avait donnée d'eux le colonisateur belge, lui-même secoué de crises identitaires. Au Zaire, le président Mobutu joue de son côté en virtuose sur le clavier de l'ethnicité pour mieux apparaître, par défaut, comme le garant de l'unité du pays. Quoi qu'en pensent ses dirigeants, la Belgique ne saurait se désintéresser de ces drames sous prétexte que les pays concernés sont devenus indépendants. Et comment la France, au nom de la francophonie, peut-elle jouer les apprentis sorciers dans la région aux seules fins de faire pièce aux Américains? De la duplicité à la complicité, il n'y a pas loin. Or, c'est de crimes contre l'humanité dont il arrive qu'on se rende coupable là-bas.
Journaliste au quotidien Le Soir à Bruxelles, collaboratrice du Monde diplomatique, Colette Braeckman s'est depuis longtemps spécialisée dans l'information sur l'Afrique, et plus particulièrement l'Afrique centrale. Outre de très nombreux reportages dans les zones de conflits, elle a publié chez Fayard Le Dinosaure: le Zaire de Mobutu (1992) et Rwanda: histoire d'un génocide (1994).Terreur africaine : Burundi, Rwanda, Zaïre les racines de la violence [texte imprimé] / Colette Braeckman, Auteur . - Paris : Fayard, 1996 . - 347 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Afrique Tags : Afrique Géopolitique Conflits Index. décimale : 09.02 Afrique Résumé : Pourquoi faut-il que des Hutus massacrent des Tutsis, que des Tutsis massacrent des Hutus? Luttes tribales, dit-on, séculaires, inévitables... Mais peut-on se satisfaire d'une explication aussi simpliste ? La réalité apparaît bien différente, et enfin compréhensible, quand on prend la peine de l'étudier de près. Au Burundi et au Rwanda, où coexistaient des groupes sociaux différents, des clans rivaux, c'est la colonisation, relayée par l'Eglise catholique, qui a semé les germes de la haine, transformé une lutte sociale en affrontement ethnique: les bombes à retardement exploseront bien plus tard, lorsque la majeure partie des intéressés auront fini par s'identifier à l'image qu'avait donnée d'eux le colonisateur belge, lui-même secoué de crises identitaires. Au Zaire, le président Mobutu joue de son côté en virtuose sur le clavier de l'ethnicité pour mieux apparaître, par défaut, comme le garant de l'unité du pays. Quoi qu'en pensent ses dirigeants, la Belgique ne saurait se désintéresser de ces drames sous prétexte que les pays concernés sont devenus indépendants. Et comment la France, au nom de la francophonie, peut-elle jouer les apprentis sorciers dans la région aux seules fins de faire pièce aux Américains? De la duplicité à la complicité, il n'y a pas loin. Or, c'est de crimes contre l'humanité dont il arrive qu'on se rende coupable là-bas.
Journaliste au quotidien Le Soir à Bruxelles, collaboratrice du Monde diplomatique, Colette Braeckman s'est depuis longtemps spécialisée dans l'information sur l'Afrique, et plus particulièrement l'Afrique centrale. Outre de très nombreux reportages dans les zones de conflits, elle a publié chez Fayard Le Dinosaure: le Zaire de Mobutu (1992) et Rwanda: histoire d'un génocide (1994).