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Les élections sociales de mai 2016 / Pierre Blaise
Titre : Les élections sociales de mai 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Blaise, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2017 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2333-2334 Importance : 59 p Langues : Français (fre) Tags : Secteur privé Entreprises Travail Emploi Conseils d'entreprise Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Des élections sociales se sont déroulées du 9 au 22 mai 2016. Pour la dix-septième fois depuis la Seconde Guerre mondiale, les travailleurs du secteur privé ont été appelés à renouveler la représentation du personnel : d’une part, dans les comités pour la prévention et la protection au travail (CPPT) pour les entreprises d’au moins 50 personnes et, d’autre part, dans les conseils d’entreprise (CE) pour celles de 100 personnes ou plus. Ce scrutin a concerné quelque 6 950 entreprises et 1 790 000 travailleurs. Les élections sociales constituent un moment particulier et emblématique de l’expression de la démocratie sociale dans les lieux de travail. Bien entendu, c’est avant tout au niveau des entreprises qu’elles trouvent leur signification. Mais elles sont également importantes à un niveau bien plus large : les organisations interprofessionnelles orchestrent les campagnes électorales et les résultats du scrutin servent à définir la représentation syndicale dans différents organes de négociation ou de concertation. Par ailleurs, ces résultats sont utilisés pour évaluer la représentativité des organisations aux niveaux national, régional et sectoriel. Ce Courrier hebdomadaire présente et commente les principales données et tendances générales des élections sociales de mai 2016 : participation électorale, résultats nationaux et régionaux, variations selon le type d’entreprises, spécificités sectorielles. Une comparaison est effectuée avec les scrutins antérieurs. Les résultats relatifs aux différentes catégories de travailleurs sont abordés de manière spécifique ; en particulier, sont étudiées les représentations respectives des travailleuses et des cadres. L’exposé est appuyé par de nombreux tableaux, graphiques et cartes en couleurs. Les élections sociales de mai 2016 [texte imprimé] / Pierre Blaise, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2017 . - 59 p. - (Courrier hebdomadaire; 2333-2334) .
Langues : Français (fre)
Tags : Secteur privé Entreprises Travail Emploi Conseils d'entreprise Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : Des élections sociales se sont déroulées du 9 au 22 mai 2016. Pour la dix-septième fois depuis la Seconde Guerre mondiale, les travailleurs du secteur privé ont été appelés à renouveler la représentation du personnel : d’une part, dans les comités pour la prévention et la protection au travail (CPPT) pour les entreprises d’au moins 50 personnes et, d’autre part, dans les conseils d’entreprise (CE) pour celles de 100 personnes ou plus. Ce scrutin a concerné quelque 6 950 entreprises et 1 790 000 travailleurs. Les élections sociales constituent un moment particulier et emblématique de l’expression de la démocratie sociale dans les lieux de travail. Bien entendu, c’est avant tout au niveau des entreprises qu’elles trouvent leur signification. Mais elles sont également importantes à un niveau bien plus large : les organisations interprofessionnelles orchestrent les campagnes électorales et les résultats du scrutin servent à définir la représentation syndicale dans différents organes de négociation ou de concertation. Par ailleurs, ces résultats sont utilisés pour évaluer la représentativité des organisations aux niveaux national, régional et sectoriel. Ce Courrier hebdomadaire présente et commente les principales données et tendances générales des élections sociales de mai 2016 : participation électorale, résultats nationaux et régionaux, variations selon le type d’entreprises, spécificités sectorielles. Une comparaison est effectuée avec les scrutins antérieurs. Les résultats relatifs aux différentes catégories de travailleurs sont abordés de manière spécifique ; en particulier, sont étudiées les représentations respectives des travailleuses et des cadres. L’exposé est appuyé par de nombreux tableaux, graphiques et cartes en couleurs. L'Europe des groupes / Anne Vincent
Titre : L'Europe des groupes : présence et stratégies en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vincent, Auteur ; Jean-Pierre Martens, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 1991 Importance : 252 p Langues : Français (fre) Catégories : Belgique
EntreprisesTags : Entreprises Groupe d'entreprises Belgique Europe Index. décimale : 04.02 Entreprises L'Europe des groupes : présence et stratégies en Belgique [texte imprimé] / Anne Vincent, Auteur ; Jean-Pierre Martens, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 1991 . - 252 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Belgique
EntreprisesTags : Entreprises Groupe d'entreprises Belgique Europe Index. décimale : 04.02 Entreprises L’exportation de déchets dangereux vers l’Afrique / Delphine Denoiseux
Titre : L’exportation de déchets dangereux vers l’Afrique : le cas du Probo Koala Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Denoiseux, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2010 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2071 Importance : 48 p Langues : Français (fre) Tags : Déchets Europe Afrique Index. décimale : REVUES Résumé : Les déchets dangereux comportent des risques liés à leur élimination, à leur mise en décharge et à leur transport, notamment par voie maritime. Un commerce de déchets dangereux vers les pays de l’Afrique de l’Ouest a été mis à jour au début des années 1980, poussant l’Union européenne à légiférer. En 1989, la convention de Bâle sur les mouvements transfrontières de déchets dangereux a été le premier cadre contraignant relatif à ce phénomène. Plusieurs autres réglementations ont ensuite vu le jour, dont la convention MARPOL pour la prévention de la pollution des mers par les navires. En 2006, le Probo Koala, un navire en provenance d’Amsterdam, débarque des déchets dangereux à Abidjan, engendrant de graves répercussions sanitaires, économiques et écologiques. Des années auparavant, les Pays-Bas et la Côte d’Ivoire avaient pourtant ratifié les divers instruments internationaux relatifs aux déchets dangereux et à la prévention de la pollution par les navires. Le cas Probo Koala relève-t-il d’une violation de la législation ? Peut-on concevoir une explication plus complexe ? En étudiant ce cas, Delphine Denoiseux aborde les facteurs qui expliquent l’émergence du transfert de déchets des pays développés vers l’Afrique. Elle analyse les notions de « déchet » et de « déchet dangereux ». Elle rassemble les données relatives aux transferts transfrontières de déchets et montre les difficultés que posent la collecte de ces données et leur interprétation. Elle se penche enfin sur les incohérences qui existent entre les conventions internationales sur les transferts de déchets dangereux et sur les transports maritimes. L’exportation de déchets dangereux vers l’Afrique : le cas du Probo Koala [texte imprimé] / Delphine Denoiseux, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2010 . - 48 p. - (Courrier hebdomadaire; 2071) .
Langues : Français (fre)
Tags : Déchets Europe Afrique Index. décimale : REVUES Résumé : Les déchets dangereux comportent des risques liés à leur élimination, à leur mise en décharge et à leur transport, notamment par voie maritime. Un commerce de déchets dangereux vers les pays de l’Afrique de l’Ouest a été mis à jour au début des années 1980, poussant l’Union européenne à légiférer. En 1989, la convention de Bâle sur les mouvements transfrontières de déchets dangereux a été le premier cadre contraignant relatif à ce phénomène. Plusieurs autres réglementations ont ensuite vu le jour, dont la convention MARPOL pour la prévention de la pollution des mers par les navires. En 2006, le Probo Koala, un navire en provenance d’Amsterdam, débarque des déchets dangereux à Abidjan, engendrant de graves répercussions sanitaires, économiques et écologiques. Des années auparavant, les Pays-Bas et la Côte d’Ivoire avaient pourtant ratifié les divers instruments internationaux relatifs aux déchets dangereux et à la prévention de la pollution par les navires. Le cas Probo Koala relève-t-il d’une violation de la législation ? Peut-on concevoir une explication plus complexe ? En étudiant ce cas, Delphine Denoiseux aborde les facteurs qui expliquent l’émergence du transfert de déchets des pays développés vers l’Afrique. Elle analyse les notions de « déchet » et de « déchet dangereux ». Elle rassemble les données relatives aux transferts transfrontières de déchets et montre les difficultés que posent la collecte de ces données et leur interprétation. Elle se penche enfin sur les incohérences qui existent entre les conventions internationales sur les transferts de déchets dangereux et sur les transports maritimes. Le financement privé de la culture / Anne Vincent
Titre : Le financement privé de la culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vincent, Auteur ; Marcus Wunderle, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2010 Collection : Dossier num. 74 Importance : 84p. Note générale : 04.01.VIN Langues : Français (fre) Catégories : Culture Tags : Sponsoring Culture Mécénat Belgique Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Dans le domaine de la culture, les pouvoirs publics assurent une grande partie des financements à caractère structurel, qui sont souvent les moins visibles. Mais dans un contexte de difficultés budgétaires croissantes, ces financements ont tendance à diminuer eu égard aux besoins. Les pouvoirs publics encouragent en revanche le financement privé de la culture par diverses mesures fiscales et d’accompagnement. Les logiques mises en place par le secteur privé se traduisent par une concentration importante des moyens financiers autour de quelques institutions, de quelques événements et à l’initiative de quelques acteurs économiques de poids, au premier rang desquels les groupes d’entreprises. Au-delà du débat sur l’influence de la publicité et des autres types de financements privés sur le contenu des produits culturels, le mécénat privé engendre un phénomène de compétition entre produits et acteurs culturels : le mécénat va plus aisément aux grands projets consensuels et ne finance les projets plus confidentiels qu’en de rares occasions. Les financements privés accentuent de même la centralisation géographique autour de quelques pôles régionaux, nationaux voire européens. Le financement privé de la culture [texte imprimé] / Anne Vincent, Auteur ; Marcus Wunderle, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2010 . - 84p.. - (Dossier; 74) .
04.01.VIN
Langues : Français (fre)
Catégories : Culture Tags : Sponsoring Culture Mécénat Belgique Index. décimale : 04.01 Entreprises - Généralités Résumé : Dans le domaine de la culture, les pouvoirs publics assurent une grande partie des financements à caractère structurel, qui sont souvent les moins visibles. Mais dans un contexte de difficultés budgétaires croissantes, ces financements ont tendance à diminuer eu égard aux besoins. Les pouvoirs publics encouragent en revanche le financement privé de la culture par diverses mesures fiscales et d’accompagnement. Les logiques mises en place par le secteur privé se traduisent par une concentration importante des moyens financiers autour de quelques institutions, de quelques événements et à l’initiative de quelques acteurs économiques de poids, au premier rang desquels les groupes d’entreprises. Au-delà du débat sur l’influence de la publicité et des autres types de financements privés sur le contenu des produits culturels, le mécénat privé engendre un phénomène de compétition entre produits et acteurs culturels : le mécénat va plus aisément aux grands projets consensuels et ne finance les projets plus confidentiels qu’en de rares occasions. Les financements privés accentuent de même la centralisation géographique autour de quelques pôles régionaux, nationaux voire européens. Le financement de la vie politique / Jean Faniel
Titre : Le financement de la vie politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Faniel, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2010 Collection : Dossier num. 75 Importance : 80 p Note générale : 08.01.FAN Langues : Français (fre) Catégories : Politique
BelgiqueTags : Financement Partis politiques Belgique Index. décimale : 08.01 Droits humains Résumé : Faire fonctionner un système démocratique a un prix. Ce coût suscite régulièrement interrogations et polémiques, tant en ce qui concerne les montants en jeu que les règles en vigueur. En outre, au cours des dernières décennies, différentes « affaires » ont fait passer cette thématique des colonnes politiques des médias à leur rubrique judiciaire. Cette étude entend répondre de manière précise aux questions que les citoyens peuvent se poser. Que gagne un élu ? Son revenu est-il limité ? Comment sont financés les partis politiques ? De quels moyens disposent les parlementaires et les ministres pour accomplir leur tâche ? Quels montants les listes et les candidats peuvent-ils investir dans une campagne électorale ? La réponse à ces questions fait apparaître des disparités, tant en ce qui concerne la rémunération des différentes fonctions qu’entre les niveaux de pouvoir ou entre les partis selon leur puissance électorale. Par ailleurs, ce tour d’horizon indique que le système de financement de la vie politique a été réformé de manière significative à diverses reprises, mais il révèle aussi que plusieurs de ces réformes se sont faites lentement et sous la pression de l’opinion publique. Le financement de la vie politique [texte imprimé] / Jean Faniel, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2010 . - 80 p. - (Dossier; 75) .
08.01.FAN
Langues : Français (fre)
Catégories : Politique
BelgiqueTags : Financement Partis politiques Belgique Index. décimale : 08.01 Droits humains Résumé : Faire fonctionner un système démocratique a un prix. Ce coût suscite régulièrement interrogations et polémiques, tant en ce qui concerne les montants en jeu que les règles en vigueur. En outre, au cours des dernières décennies, différentes « affaires » ont fait passer cette thématique des colonnes politiques des médias à leur rubrique judiciaire. Cette étude entend répondre de manière précise aux questions que les citoyens peuvent se poser. Que gagne un élu ? Son revenu est-il limité ? Comment sont financés les partis politiques ? De quels moyens disposent les parlementaires et les ministres pour accomplir leur tâche ? Quels montants les listes et les candidats peuvent-ils investir dans une campagne électorale ? La réponse à ces questions fait apparaître des disparités, tant en ce qui concerne la rémunération des différentes fonctions qu’entre les niveaux de pouvoir ou entre les partis selon leur puissance électorale. Par ailleurs, ce tour d’horizon indique que le système de financement de la vie politique a été réformé de manière significative à diverses reprises, mais il révèle aussi que plusieurs de ces réformes se sont faites lentement et sous la pression de l’opinion publique. PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink