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Titre : Quelle justice fiscale pour le Sud ? : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Leterme, Auteur Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2019 Autre Editeur : Paris [France] : Editions Syllepse Collection : Alternatives sud num. Vol.26/1 Importance : 170 p Langues : Français (fre) Tags : Justice fiscale Pays en développement Gouvernance Paradis fiscaux Fiscalité Genre Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : La fiscalité joue théoriquement trois rôles dans les économies modernes : financer la dépense publique, redistribuer les richesses et orienter les comportements économiques. Aujourd’hui, ces trois rôles sont en crise. L’évasion fiscale prive les gouvernements de recettes vitales. L’éludement de l’impôt par les plus riches creuse les inégalités. Et les politiques fiscales récompensent de plus en plus, de facto, les comportements les plus prédateurs. La situation se révèle particulièrement critique pour les populations du Sud. Premières victimes d’une économie « offshore » dont les architectes et les principaux bénéficiaires se trouvent au Nord, elles subissent également les fiscalités nationales les plus régressives. La « justice fiscale » y apparaît dès lors régulièrement comme une revendication majeure. Mais avec quel contenu exactement ? Est-elle conçue comme une fin ou un moyen ? Comment en articuler les dimensions constitutives : sociale, écologique, de genre, etc. ? À quelle échelle d’action la poursuivre en priorité ? Ces questions n’ont rien de rhétorique. À l’heure où même le FMI, l’OCDE ou encore le Forum économique de Davos commencent à revendiquer une fiscalité plus juste, elles permettent de réfléchir aux contours et aux conditions de possibilité d’une « justice fiscale » réellement émancipatrice. En ligne : https://www.cetri.be/Quelle-justice-fiscale-pour-le-Sud Quelle justice fiscale pour le Sud ? : Points de vue du Sud [texte imprimé] / Cédric Leterme, Auteur . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri : Paris (69, rue des Rigoles, 75020, France) : Editions Syllepse, 2019 . - 170 p. - (Alternatives sud; Vol.26/1) .
Langues : Français (fre)
Tags : Justice fiscale Pays en développement Gouvernance Paradis fiscaux Fiscalité Genre Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : La fiscalité joue théoriquement trois rôles dans les économies modernes : financer la dépense publique, redistribuer les richesses et orienter les comportements économiques. Aujourd’hui, ces trois rôles sont en crise. L’évasion fiscale prive les gouvernements de recettes vitales. L’éludement de l’impôt par les plus riches creuse les inégalités. Et les politiques fiscales récompensent de plus en plus, de facto, les comportements les plus prédateurs. La situation se révèle particulièrement critique pour les populations du Sud. Premières victimes d’une économie « offshore » dont les architectes et les principaux bénéficiaires se trouvent au Nord, elles subissent également les fiscalités nationales les plus régressives. La « justice fiscale » y apparaît dès lors régulièrement comme une revendication majeure. Mais avec quel contenu exactement ? Est-elle conçue comme une fin ou un moyen ? Comment en articuler les dimensions constitutives : sociale, écologique, de genre, etc. ? À quelle échelle d’action la poursuivre en priorité ? Ces questions n’ont rien de rhétorique. À l’heure où même le FMI, l’OCDE ou encore le Forum économique de Davos commencent à revendiquer une fiscalité plus juste, elles permettent de réfléchir aux contours et aux conditions de possibilité d’une « justice fiscale » réellement émancipatrice. En ligne : https://www.cetri.be/Quelle-justice-fiscale-pour-le-Sud
Titre : Quêtes d'industrialisation au Sud : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : François Polet, Auteur ; Thierry Amougou, Auteur ; Saleem Siddiqui Editeur : Louvain-la-Neuve : Cetri Année de publication : 2019 Autre Editeur : Paris [France] : Editions Syllepse Collection : Alternatives sud num. 26 Importance : 173 p Langues : Français (fre) Tags : Pays en développement Industrialisation Développement économique Croissance économique Politique régionale Index. décimale : REVUES Résumé : Transformer ses matières premières plutôt que les exporter à des prix vils ou instables. Longtemps considérée comme la «?voie royale du développement?», l’industrialisation est aujourd’hui un enjeu marginal au sein des discours internationaux sur le développement.
Révolution néolibérale, lutte contre la pauvreté et urgence écologique sont passées par là. Autrefois clé du «?nouvel ordre économique international?» défendu par les forces se réclamant du «?tiers-monde?», elle a pris le rôle de «?mère de tous les maux?»?– pollutions, exploitation des travailleurs et des travailleuses, expropriations…?–?dans le plaidoyer d’une certaine société civile post-industrielle.
Il existe, dans ce domaine comme dans tant d’autres, un déphasage Nord-Sud indéniable?: davantage que ses effets négatifs potentiels, ce sont les ingrédients du décollage industriel qui sont au centre des préoccupations des élites intellectuelles et politiques dans beaucoup de pays pauvres et émergents.
En la matière, bonne gouvernance et libéralisation ne font plus recette, l’exemple est-asiatique démontrant le rôle décisif des politiques industrielles et des marges de manœuvre nationales.En ligne : http://www.cetri.be/Etat-des-resistances-dans-le-Sud-3702 Quêtes d'industrialisation au Sud : Points de vue du Sud [texte imprimé] / François Polet, Auteur ; Thierry Amougou, Auteur ; Saleem Siddiqui . - Louvain-la-Neuve (Avenue Sainte Gertrude 5, 1348) : Cetri : Paris (69, rue des Rigoles, 75020, France) : Editions Syllepse, 2019 . - 173 p. - (Alternatives sud; 26) .
Langues : Français (fre)
Tags : Pays en développement Industrialisation Développement économique Croissance économique Politique régionale Index. décimale : REVUES Résumé : Transformer ses matières premières plutôt que les exporter à des prix vils ou instables. Longtemps considérée comme la «?voie royale du développement?», l’industrialisation est aujourd’hui un enjeu marginal au sein des discours internationaux sur le développement.
Révolution néolibérale, lutte contre la pauvreté et urgence écologique sont passées par là. Autrefois clé du «?nouvel ordre économique international?» défendu par les forces se réclamant du «?tiers-monde?», elle a pris le rôle de «?mère de tous les maux?»?– pollutions, exploitation des travailleurs et des travailleuses, expropriations…?–?dans le plaidoyer d’une certaine société civile post-industrielle.
Il existe, dans ce domaine comme dans tant d’autres, un déphasage Nord-Sud indéniable?: davantage que ses effets négatifs potentiels, ce sont les ingrédients du décollage industriel qui sont au centre des préoccupations des élites intellectuelles et politiques dans beaucoup de pays pauvres et émergents.
En la matière, bonne gouvernance et libéralisation ne font plus recette, l’exemple est-asiatique démontrant le rôle décisif des politiques industrielles et des marges de manœuvre nationales.En ligne : http://www.cetri.be/Etat-des-resistances-dans-le-Sud-3702 La recomposition du paysage bancaire belge depuis 2008 / Anne Vincent
Titre : La recomposition du paysage bancaire belge depuis 2008 Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vincent, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2012 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2158-2159 Importance : 91 p Langues : Français (fre) Tags : Banques Belgique Marchés financiers Index. décimale : REVUES Résumé : Depuis 2008, le secteur bancaire belge connaît de profonds bouleversements, dus notamment aux effets de la crise financière et économique. Tour à tour, sont remis en question les grands groupes binationaux (essentiellement franco-belges et belgo-néerlandais), le modèle de la bancassurance, le secteur public du crédit et le secteur coopératif. Les principaux acteurs bancaires opèrent d’importantes réformes, tandis que les organismes de contrôle sont restructurés et qu’une nouvelle répartition des attributions est opérée entre la Banque nationale et l’Autorité des services et marchés financiers. Cette évolution est marquée par les caractéristiques propres du marché belge : importance de l’épargne de la population, poids des banques dans l’économie, développement de services innovants…
Le sauvetage des banques par l’Autorité fédérale, les régions et les communes entraîne le creusement de la dette publique du pays et la mise en place de mesures d’austérité drastiques pour se conformer au cadre imposé aux États membres de la zone euro. À ce contexte, s’ajoute une situation institutionnelle qui place les pouvoirs publics belges en position de faiblesse par rapport à leurs homologues des pays voisins, devenus actionnaires des principaux groupes bancaires présents en Belgique.
Le présent Courrier hebdomadaire passe en revue l’évolution récente de l’ensemble des groupes bancaires actifs sur le marché belge, en réservant une attention particulière aux plus grands d’entre eux : BNP Paribas Fortis, Dexia, KBC et ING. Analysant les nouveaux traits du secteur, il étudie leurs conséquences pour les pouvoirs publics.La recomposition du paysage bancaire belge depuis 2008 [texte imprimé] / Anne Vincent, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2012 . - 91 p. - (Courrier hebdomadaire; 2158-2159) .
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Tags : Banques Belgique Marchés financiers Index. décimale : REVUES Résumé : Depuis 2008, le secteur bancaire belge connaît de profonds bouleversements, dus notamment aux effets de la crise financière et économique. Tour à tour, sont remis en question les grands groupes binationaux (essentiellement franco-belges et belgo-néerlandais), le modèle de la bancassurance, le secteur public du crédit et le secteur coopératif. Les principaux acteurs bancaires opèrent d’importantes réformes, tandis que les organismes de contrôle sont restructurés et qu’une nouvelle répartition des attributions est opérée entre la Banque nationale et l’Autorité des services et marchés financiers. Cette évolution est marquée par les caractéristiques propres du marché belge : importance de l’épargne de la population, poids des banques dans l’économie, développement de services innovants…
Le sauvetage des banques par l’Autorité fédérale, les régions et les communes entraîne le creusement de la dette publique du pays et la mise en place de mesures d’austérité drastiques pour se conformer au cadre imposé aux États membres de la zone euro. À ce contexte, s’ajoute une situation institutionnelle qui place les pouvoirs publics belges en position de faiblesse par rapport à leurs homologues des pays voisins, devenus actionnaires des principaux groupes bancaires présents en Belgique.
Le présent Courrier hebdomadaire passe en revue l’évolution récente de l’ensemble des groupes bancaires actifs sur le marché belge, en réservant une attention particulière aux plus grands d’entre eux : BNP Paribas Fortis, Dexia, KBC et ING. Analysant les nouveaux traits du secteur, il étudie leurs conséquences pour les pouvoirs publics.La réduction du temps de travail / Christian Valenduc
Titre : La réduction du temps de travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Valenduc, Auteur ; Patricia Vendramin, Auteur Editeur : CRISP Année de publication : 2013 Collection : Courrier hebdomadaire num. 2191-2192 Importance : 84 p Langues : Français (fre) Tags : Emploi Travail Temps de travail Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La question de la réduction du temps de travail se pose depuis le 19e siècle. Récemment, les « 35 heures » en France ont renouvelé l’intérêt pour ce sujet.
La réduction du temps de travail est étroitement liée à de nombreuses problématiques, telles que la création d’emplois, la qualité de vie ou le niveau des salaires. Les termes dans lesquels elle se pose ont sensiblement évolué au cours des dernières décennies, la dimension collective ayant largement fait place à des formes individuelles de réduction du temps de travail.
Le présent Courrier hebdomadaire dresse un état des lieux actuel de la question en Belgique. Tout d’abord, il analyse la répartition des salariés belges selon la durée hebdomadaire habituelle de leur travail. Un accent particulier est mis sur les inégalités qui prévalent entre les trois régions du pays, entre les femmes et les hommes, entre les professions et entre les secteurs d’activité. Ensuite, retraçant l’évolution du temps de travail au cours des dix dernières années, l’étude montre un net ralentissement de la tendance historique à la diminution amorcée au début du 20e siècle. Une comparaison internationale permet de situer la Belgique par rapport aux pays voisins à ce propos : la France après les « 35 heures », mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni. Enfin, les auteurs dressent un panorama des opinions qui prévalent aujourd’hui en Belgique francophone à l’égard de la réduction du temps de travail. De nombreux graphiques et tableaux statistiques enrichissent l’exposé.La réduction du temps de travail [texte imprimé] / Christian Valenduc, Auteur ; Patricia Vendramin, Auteur . - [S.l.] : CRISP, 2013 . - 84 p. - (Courrier hebdomadaire; 2191-2192) .
Langues : Français (fre)
Tags : Emploi Travail Temps de travail Belgique Index. décimale : REVUES Résumé : La question de la réduction du temps de travail se pose depuis le 19e siècle. Récemment, les « 35 heures » en France ont renouvelé l’intérêt pour ce sujet.
La réduction du temps de travail est étroitement liée à de nombreuses problématiques, telles que la création d’emplois, la qualité de vie ou le niveau des salaires. Les termes dans lesquels elle se pose ont sensiblement évolué au cours des dernières décennies, la dimension collective ayant largement fait place à des formes individuelles de réduction du temps de travail.
Le présent Courrier hebdomadaire dresse un état des lieux actuel de la question en Belgique. Tout d’abord, il analyse la répartition des salariés belges selon la durée hebdomadaire habituelle de leur travail. Un accent particulier est mis sur les inégalités qui prévalent entre les trois régions du pays, entre les femmes et les hommes, entre les professions et entre les secteurs d’activité. Ensuite, retraçant l’évolution du temps de travail au cours des dix dernières années, l’étude montre un net ralentissement de la tendance historique à la diminution amorcée au début du 20e siècle. Une comparaison internationale permet de situer la Belgique par rapport aux pays voisins à ce propos : la France après les « 35 heures », mais aussi l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni. Enfin, les auteurs dressent un panorama des opinions qui prévalent aujourd’hui en Belgique francophone à l’égard de la réduction du temps de travail. De nombreux graphiques et tableaux statistiques enrichissent l’exposé.
Titre : Le retour du clivage droite-gauche : Ce qu'il faut retenir de leurs programmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavagneux, Auteur ; Matthieu Jublin, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives Economiques Année de publication : avril 2022 Collection : Alternatives économiques num. 422 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Tags : Finance internationale Conflits Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Tous les candidats se précipitent au chevet du pouvoir d’achat. D’autant plus vite que la guerre en Ukraine a exacerbé l’inquiétude des Français sur un sujet qui caracolait déjà en tête de leurs préoccupations depuis le début de la campagne. Le diagnostic est relativement partagé : les prix sont orientés à la hausse, tandis que les salaires ne suivent pas. Avant même l’offensive russe, l’Insee relevait que la facture de gaz, d’électricité et de carburant des ménages avait augmenté de 30 euros par mois en moyenne en 2021 par rapport à fin 2019. Et prévoyait que le pouvoir d’achat connaîtrait une baisse de 0,5 % sur le premier semestre de 2022, après une hausse de 1,8 % en 2021. Depuis que les bombes russes pleuvent sur Kiev, cette baisse risque de s’accentuer. Côté remède, en revanche, les prescriptions des prétendants à la magistrature suprême sont très différentes. Face à la flambée des prix à la pompe et du gaz, les candidats se livrent à une surenchère de propositions. La candidate socialiste Anne Hidalgo, celui du Parti communiste Fabien Roussel et celle du Rassemblement national Marine Le Pen tablent sur une baisse de la TVA sur le gaz, l’électricité et l’essence, de façon plus ou moins précise et pérenne dans le temps. Une mesure qui irait à l’encontre des objectifs climatiques de la France. Fabien Roussel, le candidat de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon et celui d’extrême droite Eric Zemmour préfèrent miser sur le blocage des prix. Eric Zemmour rejoint par ailleurs Emmanuel Macron et la candidate des Républicains Valérie Pécresse dans leur volonté d’augmenter les indemnités kilométriques prises en charge par l’employeur. Note de contenu : -le plastique s'accumule p.64-65
-en finir avec les pesticides p.94-96En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 Le retour du clivage droite-gauche : Ce qu'il faut retenir de leurs programmes [texte imprimé] / Christian Chavagneux, Auteur ; Matthieu Jublin, Auteur . - Paris (28 rue du Sentier, 75002, France) : Alternatives Economiques, avril 2022 . - 98 p. - (Alternatives économiques; 422) .
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Tags : Finance internationale Conflits Environnement Index. décimale : REVUES Résumé : Tous les candidats se précipitent au chevet du pouvoir d’achat. D’autant plus vite que la guerre en Ukraine a exacerbé l’inquiétude des Français sur un sujet qui caracolait déjà en tête de leurs préoccupations depuis le début de la campagne. Le diagnostic est relativement partagé : les prix sont orientés à la hausse, tandis que les salaires ne suivent pas. Avant même l’offensive russe, l’Insee relevait que la facture de gaz, d’électricité et de carburant des ménages avait augmenté de 30 euros par mois en moyenne en 2021 par rapport à fin 2019. Et prévoyait que le pouvoir d’achat connaîtrait une baisse de 0,5 % sur le premier semestre de 2022, après une hausse de 1,8 % en 2021. Depuis que les bombes russes pleuvent sur Kiev, cette baisse risque de s’accentuer. Côté remède, en revanche, les prescriptions des prétendants à la magistrature suprême sont très différentes. Face à la flambée des prix à la pompe et du gaz, les candidats se livrent à une surenchère de propositions. La candidate socialiste Anne Hidalgo, celui du Parti communiste Fabien Roussel et celle du Rassemblement national Marine Le Pen tablent sur une baisse de la TVA sur le gaz, l’électricité et l’essence, de façon plus ou moins précise et pérenne dans le temps. Une mesure qui irait à l’encontre des objectifs climatiques de la France. Fabien Roussel, le candidat de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon et celui d’extrême droite Eric Zemmour préfèrent miser sur le blocage des prix. Eric Zemmour rejoint par ailleurs Emmanuel Macron et la candidate des Républicains Valérie Pécresse dans leur volonté d’augmenter les indemnités kilométriques prises en charge par l’employeur. Note de contenu : -le plastique s'accumule p.64-65
-en finir avec les pesticides p.94-96En ligne : https://www.alternatives-economiques.fr/bulle-speculative/00085012 PermalinkPermalinkLe secteur des télécommunications en Belgique / Franklin Dehousse
PermalinkEt si tout ne s'effondrait pas ? / Chafik Allal
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