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Les mots du pouvoir / Gilbert Rist (ss la dir.)
Titre : Les mots du pouvoir : sens et non-sens de la rhétorique internationale Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilbert Rist (ss la dir.), Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2002 Collection : Nouveaux Cahiers de l'IUED num. 13 Importance : 208 p Langues : Français (fre) Catégories : Politique Tags : Rhétorique Pauvreté Banque mondiale Développement Organisations internationales Nations-Unies Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : L’intention initiale était de proposer quelques règles générales pour déconstruire la rhétorique internationale en mettant en lumière les différents procédés qu’elle utilise pour s’imposer. Montrer, par exemple, comment le discours qui se prétend référentiel et qui est donc censé décrire la réalité, parvient à construire cette réalité et à inciter à l’action. Expliquer comment le recours à des formules passe-partout ou à des affirmations invérifiables permet d’obtenir l’assentiment du lecteur. Débusquer les fausses causalités qui, par la conjonction de deux faits, font croire que l’un est la conséquence de l’autre. Cette entreprise s’est heurtée toutefois à deux difficultés... Les mots du pouvoir : sens et non-sens de la rhétorique internationale [texte imprimé] / Gilbert Rist (ss la dir.), Auteur . - Paris (France) : PUF, 2002 . - 208 p. - (Nouveaux Cahiers de l'IUED; 13) .
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Catégories : Politique Tags : Rhétorique Pauvreté Banque mondiale Développement Organisations internationales Nations-Unies Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : L’intention initiale était de proposer quelques règles générales pour déconstruire la rhétorique internationale en mettant en lumière les différents procédés qu’elle utilise pour s’imposer. Montrer, par exemple, comment le discours qui se prétend référentiel et qui est donc censé décrire la réalité, parvient à construire cette réalité et à inciter à l’action. Expliquer comment le recours à des formules passe-partout ou à des affirmations invérifiables permet d’obtenir l’assentiment du lecteur. Débusquer les fausses causalités qui, par la conjonction de deux faits, font croire que l’un est la conséquence de l’autre. Cette entreprise s’est heurtée toutefois à deux difficultés... Le mystère du capital / Hernando De Soto
Titre : Le mystère du capital : pourquoi le capitalisme triomphe en Occident et échoue partout ailleurs? Type de document : texte imprimé Auteurs : Hernando De Soto, Auteur Editeur : Editions Flammarion Année de publication : 2005 Importance : 302 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Au début, on se dit qu’on est encore victime de l’un de ses fous qui professent avoir trouvé la solution magique pour sauver le monde, en l’occurrence le tiers monde. Et puis, on se laisse convaincre par l’approche historique, politique et empirique de ce livre, qui défend la nécessité de développer les droits de propriété au Sud. Dans un style très accessible, Hernando de Soto montre les avantages qu’en retireraient les économies des pays en développement, mais sans tomber dans la vulgate libérale du " y’a qu’à donner des droits aux individus pour qu’ils libèrent leur énergie entrepreneuriale ".
L’économie informelle, celle des trafics, les habitations des pauvres, etc., représentent une masse de " capital mort " nous dit l’auteur, c’est-à-dire sur lequel personne ne détient de titre juridique certain. Ce qui ne signifie pas que leur propriété ne soit pas régulée : Hernando de Soto souligne l’existence des arrangements extralégaux qui codifient précisément les propriétés des pauvres. Il montre alors, à partir de l’histoire des Etats-Unis, que le développement économique ne peut se produire que lorsque le système juridique formel trouve les moyens d’intégrer toutes ces normes informelles. Et parce que " la propriété est une construction sociale ", l’intégration de ces droits dans un système codifié légal est une bataille politique qui ne va pas de soi et qui prend du temps. Certes, comme l’avait noté Marx, un bon régime de propriété peut être aussi un régime d’accaparement des richesses. Mais l’existence d’un effet pervers ne doit pas empêcher d’avancer. Un livre qui mérite débat.Le mystère du capital : pourquoi le capitalisme triomphe en Occident et échoue partout ailleurs? [texte imprimé] / Hernando De Soto, Auteur . - [S.l.] : Editions Flammarion, 2005 . - 302 p.
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Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Au début, on se dit qu’on est encore victime de l’un de ses fous qui professent avoir trouvé la solution magique pour sauver le monde, en l’occurrence le tiers monde. Et puis, on se laisse convaincre par l’approche historique, politique et empirique de ce livre, qui défend la nécessité de développer les droits de propriété au Sud. Dans un style très accessible, Hernando de Soto montre les avantages qu’en retireraient les économies des pays en développement, mais sans tomber dans la vulgate libérale du " y’a qu’à donner des droits aux individus pour qu’ils libèrent leur énergie entrepreneuriale ".
L’économie informelle, celle des trafics, les habitations des pauvres, etc., représentent une masse de " capital mort " nous dit l’auteur, c’est-à-dire sur lequel personne ne détient de titre juridique certain. Ce qui ne signifie pas que leur propriété ne soit pas régulée : Hernando de Soto souligne l’existence des arrangements extralégaux qui codifient précisément les propriétés des pauvres. Il montre alors, à partir de l’histoire des Etats-Unis, que le développement économique ne peut se produire que lorsque le système juridique formel trouve les moyens d’intégrer toutes ces normes informelles. Et parce que " la propriété est une construction sociale ", l’intégration de ces droits dans un système codifié légal est une bataille politique qui ne va pas de soi et qui prend du temps. Certes, comme l’avait noté Marx, un bon régime de propriété peut être aussi un régime d’accaparement des richesses. Mais l’existence d’un effet pervers ne doit pas empêcher d’avancer. Un livre qui mérite débat.Le nouveau capitalisme
Titre : Le nouveau capitalisme Type de document : texte imprimé Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : décembre 2003-janvier 2004 Collection : Manière de voir num. 72 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Mondialisation Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : INCUBATION DU MODÈLE
La mondialisation n’est pas seulement l’irruption dans l’histoire de nouvelles techniques et de nouveaux marchés. C’est aussi l’aboutissement d’un long et patient travail intellectuel dont certains effets se manifestent dès les années 1970, avant même l’arrivée au pouvoir de Mme Margaret Thatcher et de M. Ronald Reagan. Quelques intellectuels, nombre de responsables politiques de droite, de hauts fonctionnaires, entonnent tour à tour le nouveau discours inégalitaire. Et fustigent tous ceux qui ont une autre vision que la leur de l’avenir du monde.
LA LANGUE DES MAÎTRES
Le nouvel ordre capitaliste a dû conquérir les esprits autant que les corps. Un déferlement de métaphores individualistes et marchandes n’a donc épargné ni les discours officiels, ni les travaux universitaires, ni les programmes de télévision. Chacun à sa place, sondeurs, gouverneurs de banque centrale et industriels participèrent au travail de conditionnement. Car il fallait que le marché entre dans les têtes. En cassant les solidarités collectives, le démantèlement des lois de protection sociale a garanti le résultat.
LES COURROIES DE TRANSMISSION
Pour que le néolibéralisme anglo-saxon devienne « mondialisation », le modèle devait voyager. Il fallait aussi que les organisations internationales conçues au lendemain de la guerre dans une optique keynésienne (FMI, Banque mondiale, etc.) se métamorphosent en agents du nouveau « consensus de Washington ». Différente de la précédente, une classe d’experts détachés de tout ancrage national apparut alors. Ils se montrèrent avant tout soucieux de droit privé et de « bonne gouvernance » des Etats. La formation universitaire des nouvelles élites s’adapta en conséquence.
À GAUCHE, DE NOUVEAUX TERRITOIRES
Aucun système n’est jamais stable indéfiniment. Pour éviter qu’une crise économique ou sociale ne remette en cause le capitalisme de marché (et les avantages que certains groupes sociaux en retirent), il fallait donc s’assurer que les principales formations politiques acceptent le néolibéralisme. Dans la lignée du parti démocrate américain, les partis de gauche ont au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, en France, etc. entériné l’idée qu’il n’y avait pas d’alternative. Les milieux populaires se sont alors détournés d’un jeu électoral devenu sans enjeu pour eux.Le nouveau capitalisme [texte imprimé] . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, décembre 2003-janvier 2004 . - 98 p. - (Manière de voir; 72) .
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Catégories : Capitalisme Tags : Mondialisation Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : INCUBATION DU MODÈLE
La mondialisation n’est pas seulement l’irruption dans l’histoire de nouvelles techniques et de nouveaux marchés. C’est aussi l’aboutissement d’un long et patient travail intellectuel dont certains effets se manifestent dès les années 1970, avant même l’arrivée au pouvoir de Mme Margaret Thatcher et de M. Ronald Reagan. Quelques intellectuels, nombre de responsables politiques de droite, de hauts fonctionnaires, entonnent tour à tour le nouveau discours inégalitaire. Et fustigent tous ceux qui ont une autre vision que la leur de l’avenir du monde.
LA LANGUE DES MAÎTRES
Le nouvel ordre capitaliste a dû conquérir les esprits autant que les corps. Un déferlement de métaphores individualistes et marchandes n’a donc épargné ni les discours officiels, ni les travaux universitaires, ni les programmes de télévision. Chacun à sa place, sondeurs, gouverneurs de banque centrale et industriels participèrent au travail de conditionnement. Car il fallait que le marché entre dans les têtes. En cassant les solidarités collectives, le démantèlement des lois de protection sociale a garanti le résultat.
LES COURROIES DE TRANSMISSION
Pour que le néolibéralisme anglo-saxon devienne « mondialisation », le modèle devait voyager. Il fallait aussi que les organisations internationales conçues au lendemain de la guerre dans une optique keynésienne (FMI, Banque mondiale, etc.) se métamorphosent en agents du nouveau « consensus de Washington ». Différente de la précédente, une classe d’experts détachés de tout ancrage national apparut alors. Ils se montrèrent avant tout soucieux de droit privé et de « bonne gouvernance » des Etats. La formation universitaire des nouvelles élites s’adapta en conséquence.
À GAUCHE, DE NOUVEAUX TERRITOIRES
Aucun système n’est jamais stable indéfiniment. Pour éviter qu’une crise économique ou sociale ne remette en cause le capitalisme de marché (et les avantages que certains groupes sociaux en retirent), il fallait donc s’assurer que les principales formations politiques acceptent le néolibéralisme. Dans la lignée du parti démocrate américain, les partis de gauche ont au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, en France, etc. entériné l’idée qu’il n’y avait pas d’alternative. Les milieux populaires se sont alors détournés d’un jeu électoral devenu sans enjeu pour eux.Les nouveaux maîtres du monde
Titre : Les nouveaux maîtres du monde Type de document : texte imprimé Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : nov 1995 Collection : Manière de voir num. 28 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Libéralisme Nationalisme Conflits Marchés Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : 1. Le retour des conquérants - Enterrés les soviets, dépassés les Etats-nations. « Tout le pouvoir aux marchés » : c’est le slogan des puissances d’argent, qui prennent le contrôle de la planète. Pas d’état-major clandestin ni de comploteurs de t’ombre : les conquérants, couverts d’or et de pierreries, agissent en pleine lumière, précédés de leurs laudateurs, prenant en otage le pouvoir politique et soumettant les peuples à leur loi.
2. La dictature du marché - Légitimé par l’idéologie libérale, mis en forme par une nouvelle classe dominante, un ordre capitaliste hégémonique, caractérisé par la mondialisation des marchés, la concentration du pouvoir économique et financier, et le contrôle des technologies, s’étend sur toute la planète.
3. Ruptures et conflits - La brutalité de la mondialisation multiplie partout les fractures économiques et sociales, provoquant le réveil des nationalismes et des intégrismes, l’extension des inégalités et de violentes révoltes, tandis que le modèle capitaliste se révèle incapable, en l’état, d’assurer pour l’ensemble des hommes et leur environnement un développement équitable et équilibré.
4. Résistances et alternatives - Au-delà des modalités d’action traditionnelles, nationales et locales, il est temps d’organiser les résistances à un autre niveau et de Préparer les alternatives. Non seulement au sein d’instances internationales, profondément réformées et démocratisées, capables d’encadrer efficacement le marché, mais aussi par l’émergence d’une société civile mondiale porteuse de valeurs et de droits universaux.Les nouveaux maîtres du monde [texte imprimé] . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, nov 1995 . - 98 p. - (Manière de voir; 28) .
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Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Libéralisme Nationalisme Conflits Marchés Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : 1. Le retour des conquérants - Enterrés les soviets, dépassés les Etats-nations. « Tout le pouvoir aux marchés » : c’est le slogan des puissances d’argent, qui prennent le contrôle de la planète. Pas d’état-major clandestin ni de comploteurs de t’ombre : les conquérants, couverts d’or et de pierreries, agissent en pleine lumière, précédés de leurs laudateurs, prenant en otage le pouvoir politique et soumettant les peuples à leur loi.
2. La dictature du marché - Légitimé par l’idéologie libérale, mis en forme par une nouvelle classe dominante, un ordre capitaliste hégémonique, caractérisé par la mondialisation des marchés, la concentration du pouvoir économique et financier, et le contrôle des technologies, s’étend sur toute la planète.
3. Ruptures et conflits - La brutalité de la mondialisation multiplie partout les fractures économiques et sociales, provoquant le réveil des nationalismes et des intégrismes, l’extension des inégalités et de violentes révoltes, tandis que le modèle capitaliste se révèle incapable, en l’état, d’assurer pour l’ensemble des hommes et leur environnement un développement équitable et équilibré.
4. Résistances et alternatives - Au-delà des modalités d’action traditionnelles, nationales et locales, il est temps d’organiser les résistances à un autre niveau et de Préparer les alternatives. Non seulement au sein d’instances internationales, profondément réformées et démocratisées, capables d’encadrer efficacement le marché, mais aussi par l’émergence d’une société civile mondiale porteuse de valeurs et de droits universaux.Le nouvel esprit du capitalisme / Luc Boltanski
Titre : Le nouvel esprit du capitalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Boltanski, Auteur ; Eve Chiapello, Auteur Editeur : Gallimard Année de publication : 1999 Collection : nrf essais Importance : 843 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Le capitalisme prospère ; la société se dégrade. La croissance du profit s'accompagne de celle de l'exclusion. La véritable crise n'est pas celle du capitalisme, mais celle de la critique du capitalisme. Trop souvent attachée à d'anciens schémas d'analyse, la critique conduit nombre de protestataires à se replier sur des modalités de défense efficaces dans le passé mais désormais largement inadaptées aux nouvelles formes du capitalisme redéployé.
Cette crise, Ève Chiapello et Luc Boltanski, sociologues, l'analysent à la racine. Ils tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme à partir d'une analyse inédite des textes de management qui ont nourri la pensée du patronat, irrigué les nouveaux modes d'organisation des entreprises : dès le milieu des années 70, le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer une nouvelle organisation en réseau, fondée sur l'initiative des acteurs et l'autonomie relative de leur travail, mais au prix de leur sécurité matérielle et psychologique.Le nouvel esprit du capitalisme [texte imprimé] / Luc Boltanski, Auteur ; Eve Chiapello, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1999 . - 843 p. - (nrf essais) .
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Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Le capitalisme prospère ; la société se dégrade. La croissance du profit s'accompagne de celle de l'exclusion. La véritable crise n'est pas celle du capitalisme, mais celle de la critique du capitalisme. Trop souvent attachée à d'anciens schémas d'analyse, la critique conduit nombre de protestataires à se replier sur des modalités de défense efficaces dans le passé mais désormais largement inadaptées aux nouvelles formes du capitalisme redéployé.
Cette crise, Ève Chiapello et Luc Boltanski, sociologues, l'analysent à la racine. Ils tracent les contours du nouvel esprit du capitalisme à partir d'une analyse inédite des textes de management qui ont nourri la pensée du patronat, irrigué les nouveaux modes d'organisation des entreprises : dès le milieu des années 70, le capitalisme renonce au principe fordiste de l'organisation hiérarchique du travail pour développer une nouvelle organisation en réseau, fondée sur l'initiative des acteurs et l'autonomie relative de leur travail, mais au prix de leur sécurité matérielle et psychologique.L'Occident décroché / Jean-Loup Amselle
PermalinkLes origines sociales de la dictature et de la démocratie / Barrington Moore
PermalinkOser penser à gauche / Sophie Heine
PermalinkParadigms lost / Chester Hartman
PermalinkLe parti de la révolution / Ludo Martens
PermalinkLe Passé d’une illusion / François Furet
PermalinkLa pensée comptable / Marc Hufty (ss la dir.)
PermalinkPenser le XXIe siècle
PermalinkLa planification aujourd'hui / Nicolas Tertulian
PermalinkLa planification en crise / Mateo Alaluf
PermalinkLe populisme de gauche / Manuel Cervera-Marzal
PermalinkPermalinkPermalinkLe prince et la conjoncture / Alain Siaens
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PermalinkQuel capitalisme? Quelle critique du capitalisme?
PermalinkLa question du logement / Friedrich Engels
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PermalinkSlow Down / Kohei Saîto
PermalinkLe socialisme est (a)venir / Tony Andréani
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