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Titre : Lessons of structural adjustment Type de document : document électronique Editeur : Bonn [Germany] : Engagement Global Année de publication : Oct 2018 Collection : D+C development and cooperation num. 9-10 Langues : Anglais (eng) Catégories : Banque mondiale
Finances internationalesTags : G8 Ajustement structurel FMI Banque mondiale Pays en développement Finance internationale Index. décimale : 06.03 Bretton Woods Résumé : In Cologne in 1999, the G8 initiated multilateral debt relief. Implicit was an acknowledgement, that the structural adjustment policies had failed. These policies had been designed by international financial institutions on behalf of major donor governments. The lessons are of lasting relevance, especially as debt levels are rising once more in many world regions.
Contributors: Jorge Saborido - Salman Anees Soz - Afshan Subohi - Ndongo Samba Sylla - Iwan J. Azis - Jürgen Zattler - Carlos Albuquerque - Jürgen Kaiser - Tilman Altenburg - Hans DembowskiEn ligne : https://www.dandc.eu/en/briefings/reconsidering-crisis-lending-international-fin [...] Lessons of structural adjustment [document électronique] . - Bonn (Germany) : Engagement Global, Oct 2018. - (D+C development and cooperation; 9-10) .
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Banque mondiale
Finances internationalesTags : G8 Ajustement structurel FMI Banque mondiale Pays en développement Finance internationale Index. décimale : 06.03 Bretton Woods Résumé : In Cologne in 1999, the G8 initiated multilateral debt relief. Implicit was an acknowledgement, that the structural adjustment policies had failed. These policies had been designed by international financial institutions on behalf of major donor governments. The lessons are of lasting relevance, especially as debt levels are rising once more in many world regions.
Contributors: Jorge Saborido - Salman Anees Soz - Afshan Subohi - Ndongo Samba Sylla - Iwan J. Azis - Jürgen Zattler - Carlos Albuquerque - Jürgen Kaiser - Tilman Altenburg - Hans DembowskiEn ligne : https://www.dandc.eu/en/briefings/reconsidering-crisis-lending-international-fin [...] Manuel d'économie critique
Titre : Manuel d'économie critique : Libre-échange, finance, partage des richesses... des mécanisme à la portée de tous Type de document : texte imprimé Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : oct 2016 Collection : Hors-série Importance : 194 p Note générale : 00.MAN Langues : Français (fre) Catégories : Finances internationales Tags : Sciences économiques Libre-échange Finance internationale Distribution des richesses Dette publique Histoire économique Croissance Travail Emploi Marchés Mondialisation Monnaie Index. décimale : 00 ECONOMIE : ouvrages de références Résumé : Équations impénétrables, courbes énigmatiques, raisonnements nébuleux… L’économie dominante invite à un double renoncement : devant les difficultés techniques d’un univers réservé aux experts, d’une part ; devant des « lois » scientifiques immuables, de l’autre. Le contre-manuel du « Monde diplomatique » entend inverser cette logique. Son ambition ? Rendre l’économie accessible au plus grand nombre et en souligner la nature politique. Bref, rappeler que, comme la chose publique, l’économie est l’affaire de tous. Et permettre à chacun de s’en emparer.
Il y a urgence : en signant l’échec des théories libérales, la débâcle financière de 2008 aurait pu inciter les gouvernements occidentaux à renouveler leurs politiques économiques. Elle a au contraire resserré le carcan de l’économie néoclassique, dans les chroniques matinales comme dans les manuels scolaires.
Nous avons donc réuni certains des spécialistes de l’économie les plus lucides – chercheurs, professeurs d’université et du secondaire, journalistes – autour des programmes de première et de terminale pour en proposer « notre » traitement. Autour de quatre objectifs : apporter un éclairage historique et international souvent oublié des programmes ; introduire les analyses d’écoles de pensée marginalisées dans les universités et privées d’accès aux médias ; démystifier les idées reçues qui installent le fatalisme dans les esprits ; dégager l’horizon en rappelant que d’autres voies s’ouvrent à nous.
Loin des dogmes, notre manuel invite à remettre l’économie au service de la société.
Ont contribué à ce manuel: Samir Amin, Guillaume Barou, Aurélien Bernier, Sophie Béroud, Élodie Bertrand, Robert Boyer, Benoit Bréville, Martine Bulard, Mona Chollet, Laurent Cordonnier, François Denord, François-Xavier Devetter, Cédric Durand, Frédéric Farah, Cyrille Ferraton, Jean Gadrey, Paul Guillibert, Serge Halimi, Michel Husson, Sabina Issehnane, Raoul Marc Jennar, Renaud Lambert, Serge Latouche, Frédéric Lebaron, Sylvain Leder, Frédéric Lemaire, Frédéric Lordon, Jean-Marie Monnier, Caroline Oudin-Bastide, Juan Miguel Pérez, Evelyne Pieiller, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Dominique Plihon, Laura Raim, Christophe Ramaux, Gilles Raveaud, Mathias Reymond, Hélène Richard, Pierre Rimbert, François Ruffin, Pierre Salama, Émilie Sauguet, Alexis Spire, Philippe Steiner, Bruno Tinel, Julie Valentin, Julien Vercueil, Ibrahim Warde, Arnaud Zacharie, Daniel Zamora.Manuel d'économie critique : Libre-échange, finance, partage des richesses... des mécanisme à la portée de tous [texte imprimé] . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, oct 2016 . - 194 p. - (Hors-série) .
00.MAN
Langues : Français (fre)
Catégories : Finances internationales Tags : Sciences économiques Libre-échange Finance internationale Distribution des richesses Dette publique Histoire économique Croissance Travail Emploi Marchés Mondialisation Monnaie Index. décimale : 00 ECONOMIE : ouvrages de références Résumé : Équations impénétrables, courbes énigmatiques, raisonnements nébuleux… L’économie dominante invite à un double renoncement : devant les difficultés techniques d’un univers réservé aux experts, d’une part ; devant des « lois » scientifiques immuables, de l’autre. Le contre-manuel du « Monde diplomatique » entend inverser cette logique. Son ambition ? Rendre l’économie accessible au plus grand nombre et en souligner la nature politique. Bref, rappeler que, comme la chose publique, l’économie est l’affaire de tous. Et permettre à chacun de s’en emparer.
Il y a urgence : en signant l’échec des théories libérales, la débâcle financière de 2008 aurait pu inciter les gouvernements occidentaux à renouveler leurs politiques économiques. Elle a au contraire resserré le carcan de l’économie néoclassique, dans les chroniques matinales comme dans les manuels scolaires.
Nous avons donc réuni certains des spécialistes de l’économie les plus lucides – chercheurs, professeurs d’université et du secondaire, journalistes – autour des programmes de première et de terminale pour en proposer « notre » traitement. Autour de quatre objectifs : apporter un éclairage historique et international souvent oublié des programmes ; introduire les analyses d’écoles de pensée marginalisées dans les universités et privées d’accès aux médias ; démystifier les idées reçues qui installent le fatalisme dans les esprits ; dégager l’horizon en rappelant que d’autres voies s’ouvrent à nous.
Loin des dogmes, notre manuel invite à remettre l’économie au service de la société.
Ont contribué à ce manuel: Samir Amin, Guillaume Barou, Aurélien Bernier, Sophie Béroud, Élodie Bertrand, Robert Boyer, Benoit Bréville, Martine Bulard, Mona Chollet, Laurent Cordonnier, François Denord, François-Xavier Devetter, Cédric Durand, Frédéric Farah, Cyrille Ferraton, Jean Gadrey, Paul Guillibert, Serge Halimi, Michel Husson, Sabina Issehnane, Raoul Marc Jennar, Renaud Lambert, Serge Latouche, Frédéric Lebaron, Sylvain Leder, Frédéric Lemaire, Frédéric Lordon, Jean-Marie Monnier, Caroline Oudin-Bastide, Juan Miguel Pérez, Evelyne Pieiller, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Dominique Plihon, Laura Raim, Christophe Ramaux, Gilles Raveaud, Mathias Reymond, Hélène Richard, Pierre Rimbert, François Ruffin, Pierre Salama, Émilie Sauguet, Alexis Spire, Philippe Steiner, Bruno Tinel, Julie Valentin, Julien Vercueil, Ibrahim Warde, Arnaud Zacharie, Daniel Zamora.
Titre : Marchés financiers : une vocation trahie? Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Dembinski, Auteur ; Alain Schoenenberger, Auteur Editeur : Paris : FPH Année de publication : septembre 1993 Autre Editeur : Paris : FPH Collection : Dossier pour un débat Importance : 105 p Langues : Français (fre) Catégories : Finances internationales Tags : Finances Marché financier Politique financière Entreprises Développement Investissement Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : La bourse a vocation à soutenir l’activité économique des entreprises. Mais les marchés financiers évoluent en réalité sans que leur rôle ne soit examiné et évalué. En fait, l’efficacité des marchés financiers n’a jamais pu être démontrée de façon convaincante. Il est impossible de dire s’ils contribuent de façon significative à améliorer l’allocation des ressources dans une économie et, de ce fait, à augmenter sa production, ou s’ils sont au contraire une source de coûts supplémentaires et captent des ressources qui seraient mieux utilisées ailleurs.
Du point de vue financier, les bourses sont au coeur des économies modernes, mais elles ne concernent en fait qu’un nombre limité d’entreprises. Celles-ci, les plus grosses, bénéficient de capitaux à un coût très intéressant. Leur accès privilégié à la finance leur donne un avantage concurrentiel déterminant par rapport aux PME. De ce fait, les marchés financiers encouragent la concentration industrielle.
Les entreprises ainsi aidées sont-elles au moins plus efficaces ? Ce n’est même pas sûr. Les entreprises cotées en bourse produisent entre 10 et 15 % du PIB alors qu’elles canalisent une part plus importante des capitaux. Ce ne sont donc pas les plus efficientes de ce point de vue.
Quel rôle les marchés financiers jouent-ils sur les entreprises et sur l’économie en général ? Ils exercent par le biais des cours une pression importante sur les performances des entreprises, mais cela incite ces dernières à rechercher les résultats financiers à court terme plutôt que l’avantage concurrentiel à long terme.
De façon générale, les actifs financiers prennent une part de plus en plus importante dans l’économie de marché et ont un rapport de plus en plus distant avec la matière ou même avec la réalité de l’économie. D’ailleurs, aucune loi économique ne semble établir un rapport entre le cours de la bourse et la santé de l’économie. Il semble même que les investissements financiers concurrencent parfois les investissements productifs.
Dans les pays en développement, le rôle des marchés financiers est ambigu. Même quand ils sont bénéfiques à l’économie, ils semblent surtout profiter aux entreprises cotées, qui sont peu nombreuses, et aux intermédiaires. Dans les pays en transition vers une économie de marché, leurs performances sont loin de se montrer à la hauteur des espérances suscitées. C’est seulement sous certaines conditions qu’ils peuvent contribuer à la privatisation de l’économie et à la restructuration des entreprises. Les pays en développement et ceux en transition sont encore en marge de la grande financiarisation. Avant de les entrainer vers cette tendance, les organisations qui les conseillent devraient analyser la réalité des marchés financiers dans les pays de l’OCDE : la finance est-elle la cause ou la conséquence du développement ?
Le rôle des marchés financiers prend de l’ampleur avec le phénomène de mondialisation des économies. Les instruments traditionnels des autorités publiques en matière monétaire semblent en revanche peu adaptés à ce phénomène : les marges de manoeuvre des politiques s’amoindrissent. On peut se demander si une reprise en main des marchés financiers par le politique ne devrait pas passer par une régulation plus précise du système financier. Le monde va vers un développement des marchés financiers de plus en plus poussée. Cette évolution est porteuse de fragilité pour le tissu économique et social. Plutôt que de chercher à inverser la tendance, le défi consiste à trouver les moyens de la domestiquer de façon à ce qu’elle n’entraine pas les effets pervers qui viennent d’être signalés.
Marchés financiers : une vocation trahie? [texte imprimé] / Paul Dembinski, Auteur ; Alain Schoenenberger, Auteur . - Paris : FPH : Paris : FPH, septembre 1993 . - 105 p. - (Dossier pour un débat) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Finances internationales Tags : Finances Marché financier Politique financière Entreprises Développement Investissement Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : La bourse a vocation à soutenir l’activité économique des entreprises. Mais les marchés financiers évoluent en réalité sans que leur rôle ne soit examiné et évalué. En fait, l’efficacité des marchés financiers n’a jamais pu être démontrée de façon convaincante. Il est impossible de dire s’ils contribuent de façon significative à améliorer l’allocation des ressources dans une économie et, de ce fait, à augmenter sa production, ou s’ils sont au contraire une source de coûts supplémentaires et captent des ressources qui seraient mieux utilisées ailleurs.
Du point de vue financier, les bourses sont au coeur des économies modernes, mais elles ne concernent en fait qu’un nombre limité d’entreprises. Celles-ci, les plus grosses, bénéficient de capitaux à un coût très intéressant. Leur accès privilégié à la finance leur donne un avantage concurrentiel déterminant par rapport aux PME. De ce fait, les marchés financiers encouragent la concentration industrielle.
Les entreprises ainsi aidées sont-elles au moins plus efficaces ? Ce n’est même pas sûr. Les entreprises cotées en bourse produisent entre 10 et 15 % du PIB alors qu’elles canalisent une part plus importante des capitaux. Ce ne sont donc pas les plus efficientes de ce point de vue.
Quel rôle les marchés financiers jouent-ils sur les entreprises et sur l’économie en général ? Ils exercent par le biais des cours une pression importante sur les performances des entreprises, mais cela incite ces dernières à rechercher les résultats financiers à court terme plutôt que l’avantage concurrentiel à long terme.
De façon générale, les actifs financiers prennent une part de plus en plus importante dans l’économie de marché et ont un rapport de plus en plus distant avec la matière ou même avec la réalité de l’économie. D’ailleurs, aucune loi économique ne semble établir un rapport entre le cours de la bourse et la santé de l’économie. Il semble même que les investissements financiers concurrencent parfois les investissements productifs.
Dans les pays en développement, le rôle des marchés financiers est ambigu. Même quand ils sont bénéfiques à l’économie, ils semblent surtout profiter aux entreprises cotées, qui sont peu nombreuses, et aux intermédiaires. Dans les pays en transition vers une économie de marché, leurs performances sont loin de se montrer à la hauteur des espérances suscitées. C’est seulement sous certaines conditions qu’ils peuvent contribuer à la privatisation de l’économie et à la restructuration des entreprises. Les pays en développement et ceux en transition sont encore en marge de la grande financiarisation. Avant de les entrainer vers cette tendance, les organisations qui les conseillent devraient analyser la réalité des marchés financiers dans les pays de l’OCDE : la finance est-elle la cause ou la conséquence du développement ?
Le rôle des marchés financiers prend de l’ampleur avec le phénomène de mondialisation des économies. Les instruments traditionnels des autorités publiques en matière monétaire semblent en revanche peu adaptés à ce phénomène : les marges de manoeuvre des politiques s’amoindrissent. On peut se demander si une reprise en main des marchés financiers par le politique ne devrait pas passer par une régulation plus précise du système financier. Le monde va vers un développement des marchés financiers de plus en plus poussée. Cette évolution est porteuse de fragilité pour le tissu économique et social. Plutôt que de chercher à inverser la tendance, le défi consiste à trouver les moyens de la domestiquer de façon à ce qu’elle n’entraine pas les effets pervers qui viennent d’être signalés.
Titre : Matière crise : encéphalogramme d'un système devenu fou Type de document : texte imprimé Auteurs : CEPAG, Auteur ; FGTB Wallonne, Auteur Editeur : FGTB Année de publication : décembre 2011 Importance : 67 p Langues : Français (fre) Catégories : Finances internationales Tags : Syndicats Crise économique et financière Emploi Travail Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités Matière crise : encéphalogramme d'un système devenu fou [texte imprimé] / CEPAG, Auteur ; FGTB Wallonne, Auteur . - [S.l.] : FGTB, décembre 2011 . - 67 p.
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Catégories : Finances internationales Tags : Syndicats Crise économique et financière Emploi Travail Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités
Titre : La microfinance en questions : Limites et choix organisationnels Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Labie, Auteur Editeur : Editions Luc Pire Année de publication : 1999 Collection : Collection Pour les Générations Futures Importance : 116 p Langues : Français (fre) Catégories : Finances internationales
Développement durableTags : Microfinance Microcrédit Développement durable Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : Au cours des 10 dernières années, la littérature et les politiques en matière de développement ont accordé une place de plus en plus importante à la micro-finance. Dans la pratique, ce courant a engendré une multiplication des organisations actives dans ce secteur et une tendance à favoriser l'institutionnalisation des mécanismes d'épargne crédit mis en place. En questionnant la raison d'être des organisations actives en microfinance, cet ouvrage tente de remettre cette évolution en perspective en soulignant les défis qui demeurent pour l'avenir. La microfinance en questions : Limites et choix organisationnels [texte imprimé] / Marc Labie, Auteur . - [S.l.] : Editions Luc Pire, 1999 . - 116 p. - (Collection Pour les Générations Futures) .
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Développement durableTags : Microfinance Microcrédit Développement durable Index. décimale : 02.01 Finances Résumé : Au cours des 10 dernières années, la littérature et les politiques en matière de développement ont accordé une place de plus en plus importante à la micro-finance. Dans la pratique, ce courant a engendré une multiplication des organisations actives dans ce secteur et une tendance à favoriser l'institutionnalisation des mécanismes d'épargne crédit mis en place. En questionnant la raison d'être des organisations actives en microfinance, cet ouvrage tente de remettre cette évolution en perspective en soulignant les défis qui demeurent pour l'avenir. PermalinkPermalinkPermalinkUne nouvelle donne mondiale?
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkProduits dérivés et bulle financière
PermalinkPermalinkRapport moral sur l'argent dans le monde 2003-2004
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