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L'impérialisme stade suprême du capitalisme / V.I. Lénine
Titre : L'impérialisme stade suprême du capitalisme : Essai de vulgarisation Type de document : texte imprimé Auteurs : V.I. Lénine, Auteur Editeur : Paris [France] : Le Temps des Cerises Année de publication : 2001 Importance : 221 p. Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Ouvrages de références Index. décimale : 00 ECONOMIE : ouvrages de références L'impérialisme stade suprême du capitalisme : Essai de vulgarisation [texte imprimé] / V.I. Lénine, Auteur . - Paris (France) : Le Temps des Cerises, 2001 . - 221 p.
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Catégories : Capitalisme Tags : Ouvrages de références Index. décimale : 00 ECONOMIE : ouvrages de références Le marché de droit divin / Thomas Frank
Titre : Le marché de droit divin : Capitalisme sauvage et populisme de marché Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Frank, Auteur Editeur : Marseille : Agone Année de publication : 2003 Importance : 498 p. Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme
Marchés financiersTags : Entreprises Etats-Unis Capitalisme Populisme Marchés financiers Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ce livre raconte comment, dans les années 1990, la communauté des affaires a fini par acquérir cette légitimité tant convoitée en persuadant le reste du monde que la voie du laissez-faire n’était pas seulement la meilleure et la seule possible mais également la plus soucieuse de répondre à la volonté et aux intérêts populaires. Il montre comment « détruire l’ancien monde » pour en édifier un nouveau, plus sur, à l’usage des milliardaires fut une entreprise à la fois politique, culturelle et économique.
Le « populisme de marché » est la pièce centrale du nouveau consensus américain. Il revendique à grands cris sa nature démocratique et pourtant les institutions démocratiques formelles n’ont jamais semblé plus lointaines et plus déplacées que sous son règne. Il discute avec ferveur de la justice économique et pourtant, dans les années 1990, l’économie américaine a enrichi les riches et néglige les plus pauvres dans des proportions qu’on n’avait plus connues depuis les années 1920. Il critique l’« élitisme » tout en transformant la classe des dirigeants d’entreprise en une des élites les plus riches de tous les temps. Il s’en prend à la hiérarchie mais il fait de l’entreprise la plus puissante institution du monde. Il célèbre l’autonomisation accrue de l’individu mais considère pourtant ceux qui en usent pour défier les marchés comme des automates. Il acclame la liberté de choix tout en proclamant que le triomphe des marchés est inévitable.
Mais en dépit de toutes ces contradictions, le populisme de marché constitue une doctrine étonnamment vivace, qui peut survivre à ses défauts, parce qu’il s’est lui-même inoculé sa propre opposition. Aussi, ce qu’il nous faut, c’est un véritable contre-pouvoir, une force qui résiste aux impératifs du profit au nom de la démocratie économique. C’est-à-dire, au bout du compte, ce que réclamaient autrefois les vrais Populistes.Le marché de droit divin : Capitalisme sauvage et populisme de marché [texte imprimé] / Thomas Frank, Auteur . - Marseille : Agone, 2003 . - 498 p.
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Marchés financiersTags : Entreprises Etats-Unis Capitalisme Populisme Marchés financiers Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ce livre raconte comment, dans les années 1990, la communauté des affaires a fini par acquérir cette légitimité tant convoitée en persuadant le reste du monde que la voie du laissez-faire n’était pas seulement la meilleure et la seule possible mais également la plus soucieuse de répondre à la volonté et aux intérêts populaires. Il montre comment « détruire l’ancien monde » pour en édifier un nouveau, plus sur, à l’usage des milliardaires fut une entreprise à la fois politique, culturelle et économique.
Le « populisme de marché » est la pièce centrale du nouveau consensus américain. Il revendique à grands cris sa nature démocratique et pourtant les institutions démocratiques formelles n’ont jamais semblé plus lointaines et plus déplacées que sous son règne. Il discute avec ferveur de la justice économique et pourtant, dans les années 1990, l’économie américaine a enrichi les riches et néglige les plus pauvres dans des proportions qu’on n’avait plus connues depuis les années 1920. Il critique l’« élitisme » tout en transformant la classe des dirigeants d’entreprise en une des élites les plus riches de tous les temps. Il s’en prend à la hiérarchie mais il fait de l’entreprise la plus puissante institution du monde. Il célèbre l’autonomisation accrue de l’individu mais considère pourtant ceux qui en usent pour défier les marchés comme des automates. Il acclame la liberté de choix tout en proclamant que le triomphe des marchés est inévitable.
Mais en dépit de toutes ces contradictions, le populisme de marché constitue une doctrine étonnamment vivace, qui peut survivre à ses défauts, parce qu’il s’est lui-même inoculé sa propre opposition. Aussi, ce qu’il nous faut, c’est un véritable contre-pouvoir, une force qui résiste aux impératifs du profit au nom de la démocratie économique. C’est-à-dire, au bout du compte, ce que réclamaient autrefois les vrais Populistes.Le mystère du capital / Hernando De Soto
Titre : Le mystère du capital : pourquoi le capitalisme triomphe en Occident et échoue partout ailleurs? Type de document : texte imprimé Auteurs : Hernando De Soto, Auteur Editeur : Editions Flammarion Année de publication : 2005 Importance : 302 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Au début, on se dit qu’on est encore victime de l’un de ses fous qui professent avoir trouvé la solution magique pour sauver le monde, en l’occurrence le tiers monde. Et puis, on se laisse convaincre par l’approche historique, politique et empirique de ce livre, qui défend la nécessité de développer les droits de propriété au Sud. Dans un style très accessible, Hernando de Soto montre les avantages qu’en retireraient les économies des pays en développement, mais sans tomber dans la vulgate libérale du " y’a qu’à donner des droits aux individus pour qu’ils libèrent leur énergie entrepreneuriale ".
L’économie informelle, celle des trafics, les habitations des pauvres, etc., représentent une masse de " capital mort " nous dit l’auteur, c’est-à-dire sur lequel personne ne détient de titre juridique certain. Ce qui ne signifie pas que leur propriété ne soit pas régulée : Hernando de Soto souligne l’existence des arrangements extralégaux qui codifient précisément les propriétés des pauvres. Il montre alors, à partir de l’histoire des Etats-Unis, que le développement économique ne peut se produire que lorsque le système juridique formel trouve les moyens d’intégrer toutes ces normes informelles. Et parce que " la propriété est une construction sociale ", l’intégration de ces droits dans un système codifié légal est une bataille politique qui ne va pas de soi et qui prend du temps. Certes, comme l’avait noté Marx, un bon régime de propriété peut être aussi un régime d’accaparement des richesses. Mais l’existence d’un effet pervers ne doit pas empêcher d’avancer. Un livre qui mérite débat.Le mystère du capital : pourquoi le capitalisme triomphe en Occident et échoue partout ailleurs? [texte imprimé] / Hernando De Soto, Auteur . - [S.l.] : Editions Flammarion, 2005 . - 302 p.
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Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : Au début, on se dit qu’on est encore victime de l’un de ses fous qui professent avoir trouvé la solution magique pour sauver le monde, en l’occurrence le tiers monde. Et puis, on se laisse convaincre par l’approche historique, politique et empirique de ce livre, qui défend la nécessité de développer les droits de propriété au Sud. Dans un style très accessible, Hernando de Soto montre les avantages qu’en retireraient les économies des pays en développement, mais sans tomber dans la vulgate libérale du " y’a qu’à donner des droits aux individus pour qu’ils libèrent leur énergie entrepreneuriale ".
L’économie informelle, celle des trafics, les habitations des pauvres, etc., représentent une masse de " capital mort " nous dit l’auteur, c’est-à-dire sur lequel personne ne détient de titre juridique certain. Ce qui ne signifie pas que leur propriété ne soit pas régulée : Hernando de Soto souligne l’existence des arrangements extralégaux qui codifient précisément les propriétés des pauvres. Il montre alors, à partir de l’histoire des Etats-Unis, que le développement économique ne peut se produire que lorsque le système juridique formel trouve les moyens d’intégrer toutes ces normes informelles. Et parce que " la propriété est une construction sociale ", l’intégration de ces droits dans un système codifié légal est une bataille politique qui ne va pas de soi et qui prend du temps. Certes, comme l’avait noté Marx, un bon régime de propriété peut être aussi un régime d’accaparement des richesses. Mais l’existence d’un effet pervers ne doit pas empêcher d’avancer. Un livre qui mérite débat.Le nouveau capitalisme
Titre : Le nouveau capitalisme Type de document : texte imprimé Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : décembre 2003-janvier 2004 Collection : Manière de voir num. 72 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Mondialisation Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : INCUBATION DU MODÈLE
La mondialisation n’est pas seulement l’irruption dans l’histoire de nouvelles techniques et de nouveaux marchés. C’est aussi l’aboutissement d’un long et patient travail intellectuel dont certains effets se manifestent dès les années 1970, avant même l’arrivée au pouvoir de Mme Margaret Thatcher et de M. Ronald Reagan. Quelques intellectuels, nombre de responsables politiques de droite, de hauts fonctionnaires, entonnent tour à tour le nouveau discours inégalitaire. Et fustigent tous ceux qui ont une autre vision que la leur de l’avenir du monde.
LA LANGUE DES MAÎTRES
Le nouvel ordre capitaliste a dû conquérir les esprits autant que les corps. Un déferlement de métaphores individualistes et marchandes n’a donc épargné ni les discours officiels, ni les travaux universitaires, ni les programmes de télévision. Chacun à sa place, sondeurs, gouverneurs de banque centrale et industriels participèrent au travail de conditionnement. Car il fallait que le marché entre dans les têtes. En cassant les solidarités collectives, le démantèlement des lois de protection sociale a garanti le résultat.
LES COURROIES DE TRANSMISSION
Pour que le néolibéralisme anglo-saxon devienne « mondialisation », le modèle devait voyager. Il fallait aussi que les organisations internationales conçues au lendemain de la guerre dans une optique keynésienne (FMI, Banque mondiale, etc.) se métamorphosent en agents du nouveau « consensus de Washington ». Différente de la précédente, une classe d’experts détachés de tout ancrage national apparut alors. Ils se montrèrent avant tout soucieux de droit privé et de « bonne gouvernance » des Etats. La formation universitaire des nouvelles élites s’adapta en conséquence.
À GAUCHE, DE NOUVEAUX TERRITOIRES
Aucun système n’est jamais stable indéfiniment. Pour éviter qu’une crise économique ou sociale ne remette en cause le capitalisme de marché (et les avantages que certains groupes sociaux en retirent), il fallait donc s’assurer que les principales formations politiques acceptent le néolibéralisme. Dans la lignée du parti démocrate américain, les partis de gauche ont au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, en France, etc. entériné l’idée qu’il n’y avait pas d’alternative. Les milieux populaires se sont alors détournés d’un jeu électoral devenu sans enjeu pour eux.Le nouveau capitalisme [texte imprimé] . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, décembre 2003-janvier 2004 . - 98 p. - (Manière de voir; 72) .
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Catégories : Capitalisme Tags : Mondialisation Capitalisme Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : INCUBATION DU MODÈLE
La mondialisation n’est pas seulement l’irruption dans l’histoire de nouvelles techniques et de nouveaux marchés. C’est aussi l’aboutissement d’un long et patient travail intellectuel dont certains effets se manifestent dès les années 1970, avant même l’arrivée au pouvoir de Mme Margaret Thatcher et de M. Ronald Reagan. Quelques intellectuels, nombre de responsables politiques de droite, de hauts fonctionnaires, entonnent tour à tour le nouveau discours inégalitaire. Et fustigent tous ceux qui ont une autre vision que la leur de l’avenir du monde.
LA LANGUE DES MAÎTRES
Le nouvel ordre capitaliste a dû conquérir les esprits autant que les corps. Un déferlement de métaphores individualistes et marchandes n’a donc épargné ni les discours officiels, ni les travaux universitaires, ni les programmes de télévision. Chacun à sa place, sondeurs, gouverneurs de banque centrale et industriels participèrent au travail de conditionnement. Car il fallait que le marché entre dans les têtes. En cassant les solidarités collectives, le démantèlement des lois de protection sociale a garanti le résultat.
LES COURROIES DE TRANSMISSION
Pour que le néolibéralisme anglo-saxon devienne « mondialisation », le modèle devait voyager. Il fallait aussi que les organisations internationales conçues au lendemain de la guerre dans une optique keynésienne (FMI, Banque mondiale, etc.) se métamorphosent en agents du nouveau « consensus de Washington ». Différente de la précédente, une classe d’experts détachés de tout ancrage national apparut alors. Ils se montrèrent avant tout soucieux de droit privé et de « bonne gouvernance » des Etats. La formation universitaire des nouvelles élites s’adapta en conséquence.
À GAUCHE, DE NOUVEAUX TERRITOIRES
Aucun système n’est jamais stable indéfiniment. Pour éviter qu’une crise économique ou sociale ne remette en cause le capitalisme de marché (et les avantages que certains groupes sociaux en retirent), il fallait donc s’assurer que les principales formations politiques acceptent le néolibéralisme. Dans la lignée du parti démocrate américain, les partis de gauche ont au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, en France, etc. entériné l’idée qu’il n’y avait pas d’alternative. Les milieux populaires se sont alors détournés d’un jeu électoral devenu sans enjeu pour eux.Les nouveaux maîtres du monde
Titre : Les nouveaux maîtres du monde Type de document : texte imprimé Editeur : Le Monde diplomatique Année de publication : nov 1995 Collection : Manière de voir num. 28 Importance : 98 p Langues : Français (fre) Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Libéralisme Nationalisme Conflits Marchés Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : 1. Le retour des conquérants - Enterrés les soviets, dépassés les Etats-nations. « Tout le pouvoir aux marchés » : c’est le slogan des puissances d’argent, qui prennent le contrôle de la planète. Pas d’état-major clandestin ni de comploteurs de t’ombre : les conquérants, couverts d’or et de pierreries, agissent en pleine lumière, précédés de leurs laudateurs, prenant en otage le pouvoir politique et soumettant les peuples à leur loi.
2. La dictature du marché - Légitimé par l’idéologie libérale, mis en forme par une nouvelle classe dominante, un ordre capitaliste hégémonique, caractérisé par la mondialisation des marchés, la concentration du pouvoir économique et financier, et le contrôle des technologies, s’étend sur toute la planète.
3. Ruptures et conflits - La brutalité de la mondialisation multiplie partout les fractures économiques et sociales, provoquant le réveil des nationalismes et des intégrismes, l’extension des inégalités et de violentes révoltes, tandis que le modèle capitaliste se révèle incapable, en l’état, d’assurer pour l’ensemble des hommes et leur environnement un développement équitable et équilibré.
4. Résistances et alternatives - Au-delà des modalités d’action traditionnelles, nationales et locales, il est temps d’organiser les résistances à un autre niveau et de Préparer les alternatives. Non seulement au sein d’instances internationales, profondément réformées et démocratisées, capables d’encadrer efficacement le marché, mais aussi par l’émergence d’une société civile mondiale porteuse de valeurs et de droits universaux.Les nouveaux maîtres du monde [texte imprimé] . - [S.l.] : Le Monde diplomatique, nov 1995 . - 98 p. - (Manière de voir; 28) .
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Catégories : Capitalisme Tags : Capitalisme Libéralisme Nationalisme Conflits Marchés Index. décimale : 08.02 Théories politiques Résumé : 1. Le retour des conquérants - Enterrés les soviets, dépassés les Etats-nations. « Tout le pouvoir aux marchés » : c’est le slogan des puissances d’argent, qui prennent le contrôle de la planète. Pas d’état-major clandestin ni de comploteurs de t’ombre : les conquérants, couverts d’or et de pierreries, agissent en pleine lumière, précédés de leurs laudateurs, prenant en otage le pouvoir politique et soumettant les peuples à leur loi.
2. La dictature du marché - Légitimé par l’idéologie libérale, mis en forme par une nouvelle classe dominante, un ordre capitaliste hégémonique, caractérisé par la mondialisation des marchés, la concentration du pouvoir économique et financier, et le contrôle des technologies, s’étend sur toute la planète.
3. Ruptures et conflits - La brutalité de la mondialisation multiplie partout les fractures économiques et sociales, provoquant le réveil des nationalismes et des intégrismes, l’extension des inégalités et de violentes révoltes, tandis que le modèle capitaliste se révèle incapable, en l’état, d’assurer pour l’ensemble des hommes et leur environnement un développement équitable et équilibré.
4. Résistances et alternatives - Au-delà des modalités d’action traditionnelles, nationales et locales, il est temps d’organiser les résistances à un autre niveau et de Préparer les alternatives. Non seulement au sein d’instances internationales, profondément réformées et démocratisées, capables d’encadrer efficacement le marché, mais aussi par l’émergence d’une société civile mondiale porteuse de valeurs et de droits universaux.Le nouvel esprit du capitalisme / Luc Boltanski
PermalinkPeut-on critiquer le capitalisme? / Kenza Aghouchy
PermalinkPeut-on réguler le capitalisme?
PermalinkQuand le capitalisme perd la tête / Joseph E. Stiglitz
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