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Auteur Alexandre Penasse |
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Titre : Tourner en rond dans l'(anti-)complotisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Lannoye, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : avril/mai 2021 Collection : Kairos num. 49 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Lutte sociale Résumé : L’entêtement à tracer un chemin rectiligne, malgré les obstacles et les contre-propositions multiples pour emprunter d’autres voies et faire entendre d’autres voix, caractérise la conduite du gouvernement belge. Toutes nos questions en conférence de presse sont restées sans véritable réponse, comme les cartes blanches et autres lettres ouvertes des scientifiques, médecins, avocats, artistes… « Cette capacité à se rendre soi-même aveugle et bête, cet entêtement à ne pas vouloir savoir » est à la mesure de l’illusion qu’ils veulent nous vendre : celle d’être à l’écoute des gens. Ceux-là mêmes qui répandent le brouillard s’étonnent ensuite que notre vision soit floue, que nous nous sentions perdus et que, parfois, nous ayons du mal à ne pas penser que, de leur côté, tout est pensé. Quand l’art de la politique consiste à ne pas dire ce qu’on fait et faire ce qu’on ne dit pas, assurer une communication perverse devient essentiel. Ainsi, les mesures totalitaires mises en place doivent passer pour modérées, démocratiques, au service de la population. Mais que peut-on attendre d’une telle configuration proto-fasciste, alors que la nouvelle liberté des citoyens ne sera plus qu’une concession provisoire et non un droit inaliénable ? En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 Tourner en rond dans l'(anti-)complotisme [texte imprimé] / Paul Lannoye, Auteur ; Alexandre Penasse, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, avril/mai 2021 . - 24 p. - (Kairos; 49) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Revues Tags : Santé Alternatives Lutte sociale Résumé : L’entêtement à tracer un chemin rectiligne, malgré les obstacles et les contre-propositions multiples pour emprunter d’autres voies et faire entendre d’autres voix, caractérise la conduite du gouvernement belge. Toutes nos questions en conférence de presse sont restées sans véritable réponse, comme les cartes blanches et autres lettres ouvertes des scientifiques, médecins, avocats, artistes… « Cette capacité à se rendre soi-même aveugle et bête, cet entêtement à ne pas vouloir savoir » est à la mesure de l’illusion qu’ils veulent nous vendre : celle d’être à l’écoute des gens. Ceux-là mêmes qui répandent le brouillard s’étonnent ensuite que notre vision soit floue, que nous nous sentions perdus et que, parfois, nous ayons du mal à ne pas penser que, de leur côté, tout est pensé. Quand l’art de la politique consiste à ne pas dire ce qu’on fait et faire ce qu’on ne dit pas, assurer une communication perverse devient essentiel. Ainsi, les mesures totalitaires mises en place doivent passer pour modérées, démocratiques, au service de la population. Mais que peut-on attendre d’une telle configuration proto-fasciste, alors que la nouvelle liberté des citoyens ne sera plus qu’une concession provisoire et non un droit inaliénable ? En ligne : http://www.kairospresse.be/journal/kairos-44 La violence contemporaine, à quelle adresse ? / Alexandre Penasse
Titre : La violence contemporaine, à quelle adresse ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur Editeur : Kairos asbl Année de publication : février 2022 Collection : Kairos num. 53 Importance : 24 p Langues : Français (fre) Catégories : Revues Tags : Santé Democratie Liberté d'expression Violences Résumé : Bien avant l’offensive vaccinale actuelle, la violence a toujours été l’objet d’éclatantes divergences d’opinion dans l’intelligentsia et le public, sans oublier les militants. On peut en donner une définition large ou restreinte. Dans le premier cas, on qualifiera de « violents » des comportements aussi différents que le bombage d’une affiche publicitaire en rue, la destruction d’une antenne 5G, la simple voie de fait, un viol, un acte de torture, un assassinat… On voit directement le problème à la fois logique et moral de cette conception maximaliste. Mieux vaut donc resserrer la définition : la violence ne s’applique(rait) qu’aux êtres vivants et « sentients », c’est-à-dire capables de ressentir la douleur physique et morale, donc les humains et les animaux (avant tout ceux à sang chaud). Elle peut être physique, psychologique ou symbolique, « […] cette violence symbolique, ce travail d’imposition de sens et de valeur auquel certaines corporations (comme les journalistes) font profession de soumettre le reste de la population, en toute bonne conscience, comme si elles étaient en charge d’un ministère intellectuel et moral(3) ». À rebours de ce qu’avance la philosophie libérale — qui ne proscrit que la violence physique —, une forme n’est pas plus ou moins grave que les autres. Tout le reste relève de la destruction de biens, du vandalisme ou du sabotage. On peut certes réprouver ceux-ci, mais il ne faut pas confondre les deux plans. Note de contenu : -l'invention du "confusionnisme" participe à la confusion p.4-5
-la politique de la violence traumatique p.12-13La violence contemporaine, à quelle adresse ? [texte imprimé] / Alexandre Penasse, Auteur ; Bernard Legros, Auteur . - [S.l.] : Kairos asbl, février 2022 . - 24 p. - (Kairos; 53) .
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Catégories : Revues Tags : Santé Democratie Liberté d'expression Violences Résumé : Bien avant l’offensive vaccinale actuelle, la violence a toujours été l’objet d’éclatantes divergences d’opinion dans l’intelligentsia et le public, sans oublier les militants. On peut en donner une définition large ou restreinte. Dans le premier cas, on qualifiera de « violents » des comportements aussi différents que le bombage d’une affiche publicitaire en rue, la destruction d’une antenne 5G, la simple voie de fait, un viol, un acte de torture, un assassinat… On voit directement le problème à la fois logique et moral de cette conception maximaliste. Mieux vaut donc resserrer la définition : la violence ne s’applique(rait) qu’aux êtres vivants et « sentients », c’est-à-dire capables de ressentir la douleur physique et morale, donc les humains et les animaux (avant tout ceux à sang chaud). Elle peut être physique, psychologique ou symbolique, « […] cette violence symbolique, ce travail d’imposition de sens et de valeur auquel certaines corporations (comme les journalistes) font profession de soumettre le reste de la population, en toute bonne conscience, comme si elles étaient en charge d’un ministère intellectuel et moral(3) ». À rebours de ce qu’avance la philosophie libérale — qui ne proscrit que la violence physique —, une forme n’est pas plus ou moins grave que les autres. Tout le reste relève de la destruction de biens, du vandalisme ou du sabotage. On peut certes réprouver ceux-ci, mais il ne faut pas confondre les deux plans. Note de contenu : -l'invention du "confusionnisme" participe à la confusion p.4-5
-la politique de la violence traumatique p.12-13