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Titre : |
La lutte contre la pauvreté et les droits humains |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Francine Mestrum, Auteur ; Melik Özden, Auteur |
Editeur : |
Genève [Suisse] : CETIM |
Année de publication : |
juin 2012 |
Collection : |
Cahiers critiques num. 11 |
Importance : |
27 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Tags : |
Pauvreté Dette Pays en développement ONU |
Résumé : |
Si l'on se réfère aux données de la Banque mondiale, il y a actuellement près de un milliard et demi d'extrêmes pauvres dans le monde, vivant avec moins de 1,25 dollar par jour, et un autre milliard de pauvres vivant avec moins de 2 dollars par jour, ce qui correspond presque à la moitié de l'humanité. Bien que les méthodes de mesures de la Banque mondiale soient contestables (voir chapitre III), il n'en reste pas moins que, selon les agences spécialisées de l'ONU, aujourd'hui un milliard de personnes souffrent de la famine ou de la malnutrition; autant de personnes manquent d'eau potable et 2,5 milliards n'ont pas accès à l'assainissement et aux installations sanitaires; des dizaines de millions de personnes manquent de logements et plus d'un milliard sont mal logées; on compte plus de 200 millions de chômeurs mais 900 millions de working poor; près de 800 millions d'adultes sont analphabètes; chaque année six millions d'enfants de moins de cinq ans meurent de maladies qu'on pourrait pourtant prévenir... |
En ligne : |
http://cetim.ch/fr/documents/cahier_11.pdf |
La lutte contre la pauvreté et les droits humains [document électronique] / Francine Mestrum, Auteur ; Melik Özden, Auteur . - Genève (6, rue Amat, 1202, Suisse) : CETIM, juin 2012 . - 27 p.. - ( Cahiers critiques; 11) . Langues : Français ( fre)
Tags : |
Pauvreté Dette Pays en développement ONU |
Résumé : |
Si l'on se réfère aux données de la Banque mondiale, il y a actuellement près de un milliard et demi d'extrêmes pauvres dans le monde, vivant avec moins de 1,25 dollar par jour, et un autre milliard de pauvres vivant avec moins de 2 dollars par jour, ce qui correspond presque à la moitié de l'humanité. Bien que les méthodes de mesures de la Banque mondiale soient contestables (voir chapitre III), il n'en reste pas moins que, selon les agences spécialisées de l'ONU, aujourd'hui un milliard de personnes souffrent de la famine ou de la malnutrition; autant de personnes manquent d'eau potable et 2,5 milliards n'ont pas accès à l'assainissement et aux installations sanitaires; des dizaines de millions de personnes manquent de logements et plus d'un milliard sont mal logées; on compte plus de 200 millions de chômeurs mais 900 millions de working poor; près de 800 millions d'adultes sont analphabètes; chaque année six millions d'enfants de moins de cinq ans meurent de maladies qu'on pourrait pourtant prévenir... |
En ligne : |
http://cetim.ch/fr/documents/cahier_11.pdf |
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Documents numériques
La lutte contre la pauvreté et les droits humainsAdobe Acrobat PDF | | |
Titre : |
Responsabilité de protéger : Progrès ou recul du droit international public? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Maëli Astruc, Auteur ; Melik Özden, Auteur |
Editeur : |
Genève [Suisse] : CETIM |
Année de publication : |
décembre 2013 |
Collection : |
Cahiers critiques num. 12 |
Importance : |
27 p |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Droits de l'homme Droit
|
Tags : |
ONU Ingérence Droits humains Droit international |
Résumé : |
Peut-on justifier une intervention militaire pour des motifs humanitaires ? De tout temps les théoriciens ont tenté d'offrir une légitimité morale et légale aux interventions et ingérences dans les affaires d’États tiers réalisées au nom de la protection des populations et des droits humains. De « l'intervention d'humanité » du XIXe siècle au « droit d'ingérence » des années 1990, toutes ces théories ont buté sur le mêmes problème : elles sont instrumentalisées par les grandes puissances du moment au gré de leurs intérêts pour intervenir dans les affaires internes des États les plus faibles (ou considérés comme « voyous »).
Depuis les années 2000, on assiste à l'émergence d'une nouvelle tentative de justifier les interventions et les ingérences au nom de motifs humanitaires : il s'agit de la « responsabilité de protéger ». Salué par certains comme une avancée du droit international public, et parfois même comme le symbole de l'avènement d'un nouvel ordre international, la responsabilité de protéger a notamment été invoquée dans les décisions du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur les cas de la Libye ou de la Côte d'Ivoire. En vertu de cette théorie, la responsabilité première de l’État est de protéger sa population, mais lorsqu'il se montre incapable de le faire, c'est à la communauté internationale d'assumer cette responsabilité.
Ce nouveau cahier du CETIM porte un regard critique sur la responsabilité de protéger et l'analyse au regard des rapports de force géopolitiques existants. Il présente dans le détail les contours du concept de responsabilité de protéger, le contexte de son élaboration, les arguments avancés en sa faveur et les conditions de sa mise en œuvre. Il démontre les filiations avec les théories aujourd'hui largement démodées et discréditées de l'intervention d'humanité et de l'ingérence humanitaire. Ce cahier revient sur la création de l'ONU et rappelle l'importance des principes contenus dans sa Charte en tant que garants de l'égalité entre États et remparts contre l'arbitraire et la loi du plus fort. Il critique la responsabilité de protéger en tant que nouvelle tentative d'instrumentalisation du droit international qui menace les fondements de l'ordre international et met en danger la paix et la sécurité au niveau mondial. |
En ligne : |
http://www.cetim.ch/fr/publications_cahiers.php#proteger |
Responsabilité de protéger : Progrès ou recul du droit international public? [document électronique] / Maëli Astruc, Auteur ; Melik Özden, Auteur . - Genève (6, rue Amat, 1202, Suisse) : CETIM, décembre 2013 . - 27 p. - ( Cahiers critiques; 12) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Droits de l'homme Droit
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Tags : |
ONU Ingérence Droits humains Droit international |
Résumé : |
Peut-on justifier une intervention militaire pour des motifs humanitaires ? De tout temps les théoriciens ont tenté d'offrir une légitimité morale et légale aux interventions et ingérences dans les affaires d’États tiers réalisées au nom de la protection des populations et des droits humains. De « l'intervention d'humanité » du XIXe siècle au « droit d'ingérence » des années 1990, toutes ces théories ont buté sur le mêmes problème : elles sont instrumentalisées par les grandes puissances du moment au gré de leurs intérêts pour intervenir dans les affaires internes des États les plus faibles (ou considérés comme « voyous »).
Depuis les années 2000, on assiste à l'émergence d'une nouvelle tentative de justifier les interventions et les ingérences au nom de motifs humanitaires : il s'agit de la « responsabilité de protéger ». Salué par certains comme une avancée du droit international public, et parfois même comme le symbole de l'avènement d'un nouvel ordre international, la responsabilité de protéger a notamment été invoquée dans les décisions du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur les cas de la Libye ou de la Côte d'Ivoire. En vertu de cette théorie, la responsabilité première de l’État est de protéger sa population, mais lorsqu'il se montre incapable de le faire, c'est à la communauté internationale d'assumer cette responsabilité.
Ce nouveau cahier du CETIM porte un regard critique sur la responsabilité de protéger et l'analyse au regard des rapports de force géopolitiques existants. Il présente dans le détail les contours du concept de responsabilité de protéger, le contexte de son élaboration, les arguments avancés en sa faveur et les conditions de sa mise en œuvre. Il démontre les filiations avec les théories aujourd'hui largement démodées et discréditées de l'intervention d'humanité et de l'ingérence humanitaire. Ce cahier revient sur la création de l'ONU et rappelle l'importance des principes contenus dans sa Charte en tant que garants de l'égalité entre États et remparts contre l'arbitraire et la loi du plus fort. Il critique la responsabilité de protéger en tant que nouvelle tentative d'instrumentalisation du droit international qui menace les fondements de l'ordre international et met en danger la paix et la sécurité au niveau mondial. |
En ligne : |
http://www.cetim.ch/fr/publications_cahiers.php#proteger |
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