Détail de l'auteur
Auteur André Gorz |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
Critique de la division du travail / André Gorz
Titre : Critique de la division du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : André Gorz, Auteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 1973 Collection : Politique Importance : 295 p Présentation : 05.01.GOR Langues : Français (fre) Tags : Travail Emploi Capitalisme Politiques de l'emploi Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités Résumé : Deux grandes séparations, constitutives selon Marx du mode de production capitaliste, sont toutes deux à la racine de l’aliénation : la division marchande du travail entre les unités économiques, et la division « manufacturière » du travail au sein des unités économiques. La première est coordonnée, régulée par le marché, la seconde par l’autorité hiérarchique des cadres et techniciens. Mais dans Critique de la division du travail, choix de textes présentés par André Gorz pour la collection Points des éditions du Seuil en 1973, la « question de la nature et du dépassement de la division du travail » se réduit strictement à la division manufacturière du travail. En fait, même la critique écologiste du travail capitaliste, alors naissante chez Illich ou Touraine (et chez Michel Bosquet) se limite au départ à une critique des méga-outils, grandes organisations comprises. À cette époque, même la division sociale (entre les unités) tend à être organisée par la hiérarchie d’un réseau autour de grands monopoles, ou carrément par le plan d’État, qui « cherche à faire fonctionner la société comme une vaste machine » sur le modèle des chemins de fer.
Alain Lipietz in http://lipietz.net/IMG/pdf/Lipietz_gorz_Cor_AL-2.pdfCritique de la division du travail [texte imprimé] / André Gorz, Auteur . - Paris : Seuil, 1973 . - 295 p : 05.01.GOR. - (Politique) .
Langues : Français (fre)
Tags : Travail Emploi Capitalisme Politiques de l'emploi Index. décimale : 05.01 Travail - Généralités Résumé : Deux grandes séparations, constitutives selon Marx du mode de production capitaliste, sont toutes deux à la racine de l’aliénation : la division marchande du travail entre les unités économiques, et la division « manufacturière » du travail au sein des unités économiques. La première est coordonnée, régulée par le marché, la seconde par l’autorité hiérarchique des cadres et techniciens. Mais dans Critique de la division du travail, choix de textes présentés par André Gorz pour la collection Points des éditions du Seuil en 1973, la « question de la nature et du dépassement de la division du travail » se réduit strictement à la division manufacturière du travail. En fait, même la critique écologiste du travail capitaliste, alors naissante chez Illich ou Touraine (et chez Michel Bosquet) se limite au départ à une critique des méga-outils, grandes organisations comprises. À cette époque, même la division sociale (entre les unités) tend à être organisée par la hiérarchie d’un réseau autour de grands monopoles, ou carrément par le plan d’État, qui « cherche à faire fonctionner la société comme une vaste machine » sur le modèle des chemins de fer.
Alain Lipietz in http://lipietz.net/IMG/pdf/Lipietz_gorz_Cor_AL-2.pdf