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L'économie de l'après-croissance / Agnès Sinaï
Titre : L'économie de l'après-croissance : Politiques de l'Anthropocène II Type de document : texte imprimé Auteurs : Agnès Sinaï, Auteur Editeur : Paris : Presses de la Fondation nationale des Sciences politiques Année de publication : 2018 Importance : 259 p Présentation : 06.02.SIN Langues : Français (fre) Tags : Science politique Environnement Consommation Energie Monnaie Emploi PIB Croissance Développement durable Développement économique Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : La croissance et le productivisme, véritables socles de nos sociétés industrielles, nous entraînent dans une consommation effrénée d'espace et de ressources et mettent la planète sur une orbite périlleuse. Les théories économiques, qui ont alimenté ce déni de la finitude des ressources, dérivent aujourd'hui vers de nouveaux mirages tels que la monétarisation des écosystèmes ou la croissance verte. Il importe de les dissiper et d'inventer une économie bio physique en phase avec les cycles de la nature, ralentie, locale et sobre, de réhabiliter le geste humain en faisant appel aux basses technologies. À la lumière de ce nouveau paradigme, la décroissance des pays riches apparaît non plus comme une fatalité ou une contrainte mais comme une nécessité éthique et physique et une voie de justice sociale et d'égalité. L'économie de l'après-croissance : Politiques de l'Anthropocène II [texte imprimé] / Agnès Sinaï, Auteur . - Paris : Presses de la Fondation nationale des Sciences politiques, 2018 . - 259 p : 06.02.SIN.
Langues : Français (fre)
Tags : Science politique Environnement Consommation Energie Monnaie Emploi PIB Croissance Développement durable Développement économique Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : La croissance et le productivisme, véritables socles de nos sociétés industrielles, nous entraînent dans une consommation effrénée d'espace et de ressources et mettent la planète sur une orbite périlleuse. Les théories économiques, qui ont alimenté ce déni de la finitude des ressources, dérivent aujourd'hui vers de nouveaux mirages tels que la monétarisation des écosystèmes ou la croissance verte. Il importe de les dissiper et d'inventer une économie bio physique en phase avec les cycles de la nature, ralentie, locale et sobre, de réhabiliter le geste humain en faisant appel aux basses technologies. À la lumière de ce nouveau paradigme, la décroissance des pays riches apparaît non plus comme une fatalité ou une contrainte mais comme une nécessité éthique et physique et une voie de justice sociale et d'égalité.