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L'insoutenable productivité du travail / Mireille Bruyère
Titre : L'insoutenable productivité du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Mireille Bruyère, Auteur Editeur : Le bord de l'eau Année de publication : 2018 Collection : L'économie encastrée Importance : 158 p. Présentation : 01 BRU Langues : Français (fre) Tags : Travail Productivité Economie Consommation Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ne sommes nous pas devenus trop efficaces ? N’avons nous pas dépassé la limite du raisonnable quant à notre capacité à produire, quant à notre productivité ? Une productivité désirée non seulement par les chantres du néolibéralisme, mais aussi par la grande majorité des courants critiques du capitalisme. La critique de la croissance déjà ancienne désigne notre désir infini pour la consommation comme source de notre aliénation et de l’impasse écologique dans laquelle nous avons précipité la planète. Mais, ce désir de consommation infini n’est-il pas l’autre face de notre désir d’efficacité infinie ? L'insoutenable productivité du travail [texte imprimé] / Mireille Bruyère, Auteur . - [S.l.] : Le bord de l'eau, 2018 . - 158 p. : 01 BRU. - (L'économie encastrée) .
Langues : Français (fre)
Tags : Travail Productivité Economie Consommation Index. décimale : 01 Economie Résumé : Ne sommes nous pas devenus trop efficaces ? N’avons nous pas dépassé la limite du raisonnable quant à notre capacité à produire, quant à notre productivité ? Une productivité désirée non seulement par les chantres du néolibéralisme, mais aussi par la grande majorité des courants critiques du capitalisme. La critique de la croissance déjà ancienne désigne notre désir infini pour la consommation comme source de notre aliénation et de l’impasse écologique dans laquelle nous avons précipité la planète. Mais, ce désir de consommation infini n’est-il pas l’autre face de notre désir d’efficacité infinie ? Mondialisation / Arnaud Zacharie
Titre : Mondialisation : qui gagne et qui perd. Essai sur l'économie politique du développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Zacharie, Auteur Editeur : Le bord de l'eau Année de publication : 2013 Collection : La Muette Importance : 554 p Note générale : 03.01.ZAC Langues : Français (fre) Tags : Mondialisation Economie politique Développement Relations Nord-Sud Financement du développement Politique commerciale Politique financière Index. décimale : 03.01 COMMERCE / MONDIALISATION Généralités Résumé : Mauvaise nouvelle pour les étudiants en économie du développement : ce pavé de plus de 500 pages va assurément devenir une lecture obligatoire ! Car nulle part ailleurs on ne trouve une synthèse aussi vaste, historique et pluridisciplinaire d'initiation aux questions de développement. Si le volume est épais, c'est qu'il traite de trois sujets. D'abord, des inégalités Nord-Sud sur longue période, d'avant la révolution industrielle à nos jours. On est confronté à un bilan magistral de la littérature disponible qui se termine sur la nécessité de laisser aux dirigeants du Sud des espaces propres de décision politique pour organiser leur développement. Il n'y manque que les derniers débats sur la nécessité, pour les émergents, de rééquilibrer leur croissance par le développement de leur marché intérieur.
On passe ensuite en revue les modes de financement du développement, avec le rôle de l'aide, des prêts et des investisseurs étrangers. Là encore, la synthèse de la littérature est impressionnante et la mise en perspective historique intéressante. Il y manque pourtant les travaux expliquant comment nombre de dirigeants du Sud ont su contourner et récupérer à leur profit, au sens propre, les contraintes imposées par les bailleurs extérieurs qu'ils n'ont pas fait que subir. La fin de l'ouvrage propose la comparaison de trois stratégies (Corée du Sud, Congo, Argentine). On sort de ce livre convaincu, s'il en était besoin, que la pensée sur les questions de développement rend obligatoire une approche pluridisciplinaire. Un sujet sur lequel les économistes ont tout à gagner à ne pas rester entre eux.Mondialisation : qui gagne et qui perd. Essai sur l'économie politique du développement [texte imprimé] / Arnaud Zacharie, Auteur . - [S.l.] : Le bord de l'eau, 2013 . - 554 p. - (La Muette) .
03.01.ZAC
Langues : Français (fre)
Tags : Mondialisation Economie politique Développement Relations Nord-Sud Financement du développement Politique commerciale Politique financière Index. décimale : 03.01 COMMERCE / MONDIALISATION Généralités Résumé : Mauvaise nouvelle pour les étudiants en économie du développement : ce pavé de plus de 500 pages va assurément devenir une lecture obligatoire ! Car nulle part ailleurs on ne trouve une synthèse aussi vaste, historique et pluridisciplinaire d'initiation aux questions de développement. Si le volume est épais, c'est qu'il traite de trois sujets. D'abord, des inégalités Nord-Sud sur longue période, d'avant la révolution industrielle à nos jours. On est confronté à un bilan magistral de la littérature disponible qui se termine sur la nécessité de laisser aux dirigeants du Sud des espaces propres de décision politique pour organiser leur développement. Il n'y manque que les derniers débats sur la nécessité, pour les émergents, de rééquilibrer leur croissance par le développement de leur marché intérieur.
On passe ensuite en revue les modes de financement du développement, avec le rôle de l'aide, des prêts et des investisseurs étrangers. Là encore, la synthèse de la littérature est impressionnante et la mise en perspective historique intéressante. Il y manque pourtant les travaux expliquant comment nombre de dirigeants du Sud ont su contourner et récupérer à leur profit, au sens propre, les contraintes imposées par les bailleurs extérieurs qu'ils n'ont pas fait que subir. La fin de l'ouvrage propose la comparaison de trois stratégies (Corée du Sud, Congo, Argentine). On sort de ce livre convaincu, s'il en était besoin, que la pensée sur les questions de développement rend obligatoire une approche pluridisciplinaire. Un sujet sur lequel les économistes ont tout à gagner à ne pas rester entre eux.Pouvoir et crise du capital / Jean-Marie Harribey
Titre : Pouvoir et crise du capital : Marx, penseur du XXIe siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Harribey, Auteur ; Matthieu Montalban, Auteur Editeur : Le bord de l'eau Année de publication : 2012 Collection : L'économie encastrée Importance : 216 p Note générale : 01.HAR Langues : Français (fre) Catégories : Marxisme Tags : Marxisme Capitalisme Crise économique Mouvements sociaux Index. décimale : 01 - Economie Résumé : S’il y a bien un auteur qui a su lire les crises du capitalisme et en comprendre la nature profonde, il s’agit certainement de Marx. Pour ce dernier, les crises synthétisent les contradictions sociales inhérentes à la production capitaliste et les conditions de dépassement de ce mode de production. De crises en crises, selon Marx, le capitalisme allait tendre vers la crise finale, poussant les prolétaires à s’organiser de plus en plus collectivement face aux injustices provoquées par ce système. La crise de 2007, la plus grave depuis 1929, a eu beau avoir des effets catastrophiques, force est de constater que le capitalisme est toujours là, bien que des forces sociales essayent de s’organiser pour y résister ou le renverser. Il est donc important de s’interroger sur les sources du pouvoir en particulier celui du capital sur les classes dominées, qui lui permet de maintenir son ordre malgré ses désordres internes.
La lecture de Marx, toujours utile, peut-elle être revisitée à cette fin ? En quoi Marx nous permet-il aujourd’hui de penser à la fois la crise, le pouvoir et ainsi les conditions de transformations de la société ? Comment ses concepts peuvent-ils être réactualisés et retravaillés pour penser la crise récente et les mouvements de résistance ici ou là ?Pouvoir et crise du capital : Marx, penseur du XXIe siècle [texte imprimé] / Jean-Marie Harribey, Auteur ; Matthieu Montalban, Auteur . - [S.l.] : Le bord de l'eau, 2012 . - 216 p. - (L'économie encastrée) .
01.HAR
Langues : Français (fre)
Catégories : Marxisme Tags : Marxisme Capitalisme Crise économique Mouvements sociaux Index. décimale : 01 - Economie Résumé : S’il y a bien un auteur qui a su lire les crises du capitalisme et en comprendre la nature profonde, il s’agit certainement de Marx. Pour ce dernier, les crises synthétisent les contradictions sociales inhérentes à la production capitaliste et les conditions de dépassement de ce mode de production. De crises en crises, selon Marx, le capitalisme allait tendre vers la crise finale, poussant les prolétaires à s’organiser de plus en plus collectivement face aux injustices provoquées par ce système. La crise de 2007, la plus grave depuis 1929, a eu beau avoir des effets catastrophiques, force est de constater que le capitalisme est toujours là, bien que des forces sociales essayent de s’organiser pour y résister ou le renverser. Il est donc important de s’interroger sur les sources du pouvoir en particulier celui du capital sur les classes dominées, qui lui permet de maintenir son ordre malgré ses désordres internes.
La lecture de Marx, toujours utile, peut-elle être revisitée à cette fin ? En quoi Marx nous permet-il aujourd’hui de penser à la fois la crise, le pouvoir et ainsi les conditions de transformations de la société ? Comment ses concepts peuvent-ils être réactualisés et retravaillés pour penser la crise récente et les mouvements de résistance ici ou là ?L'urgence industrielle! / Gabriel Colletis
Titre : L'urgence industrielle! Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriel Colletis, Auteur Editeur : Le bord de l'eau Année de publication : 2012 Importance : 193 p Langues : Français (fre) Tags : Politique industrielle France Financiarisation Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : Aucun pays ne peut se développer ou même rester un pays avancé sans base productive. C'est pour l'avoir ignoré que certains pays s'enfoncent aujourd'hui dans le chaos et que d'autres, dont la France, risquent d'être entraînés sur la pente du déclin. Les pertes d'emploi et la disparition de pans entiers de l'industrie ne concernent pas seulement certains secteurs ou certains bassins d'emploi. Elles ont des effets dévastateurs sur l'économie dans son ensemble, hypothéquant son avenir et celui des générations futures. Ce faisant, elles mettent en péril la démocratie.
La longue érosion de l'industrie française s'explique par l'extraversion puis la financiarisation des grands groupes dont le destin ne coïncide plus avec celui de l'économie française. L'État, qui a soutenu la constitution de ces groupes, reste lié à eux. Il n'est plus, par conséquent, en mesure d'être le porteur d'un projet de développement. En contrepoint de ces évolutions négatives, une grande constante demeure : le mépris du travail et des compétences.
Les voies du nécessaire renouveau existent cependant et peuvent conduire à l'élaboration d'un nouveau projet. L’auteur les explore dans ce livre en précisant l'enjeu central : développer des productions socialement utiles tout en préservant la nature. Plutôt que d’attendre passivement que, de façon improbable, les États se mettent du côté de la démocratie, que des partis ou de la classe politique naisse spontanément un nouveau projet, il convient que la société des citoyens – le demos – s’autorise à quitter la seule sphère privée, et investisse de façon permanente l’administration économique et politique du système.
Changer de paradigme, renouer les liens entre industrie, travail et démocratie, au final, constituent un processus long, mais aussi une tâche urgente. Raison de plus pour l'engager sans attendre !L'urgence industrielle! [texte imprimé] / Gabriel Colletis, Auteur . - [S.l.] : Le bord de l'eau, 2012 . - 193 p.
Langues : Français (fre)
Tags : Politique industrielle France Financiarisation Index. décimale : 09.05 Europe Résumé : Aucun pays ne peut se développer ou même rester un pays avancé sans base productive. C'est pour l'avoir ignoré que certains pays s'enfoncent aujourd'hui dans le chaos et que d'autres, dont la France, risquent d'être entraînés sur la pente du déclin. Les pertes d'emploi et la disparition de pans entiers de l'industrie ne concernent pas seulement certains secteurs ou certains bassins d'emploi. Elles ont des effets dévastateurs sur l'économie dans son ensemble, hypothéquant son avenir et celui des générations futures. Ce faisant, elles mettent en péril la démocratie.
La longue érosion de l'industrie française s'explique par l'extraversion puis la financiarisation des grands groupes dont le destin ne coïncide plus avec celui de l'économie française. L'État, qui a soutenu la constitution de ces groupes, reste lié à eux. Il n'est plus, par conséquent, en mesure d'être le porteur d'un projet de développement. En contrepoint de ces évolutions négatives, une grande constante demeure : le mépris du travail et des compétences.
Les voies du nécessaire renouveau existent cependant et peuvent conduire à l'élaboration d'un nouveau projet. L’auteur les explore dans ce livre en précisant l'enjeu central : développer des productions socialement utiles tout en préservant la nature. Plutôt que d’attendre passivement que, de façon improbable, les États se mettent du côté de la démocratie, que des partis ou de la classe politique naisse spontanément un nouveau projet, il convient que la société des citoyens – le demos – s’autorise à quitter la seule sphère privée, et investisse de façon permanente l’administration économique et politique du système.
Changer de paradigme, renouer les liens entre industrie, travail et démocratie, au final, constituent un processus long, mais aussi une tâche urgente. Raison de plus pour l'engager sans attendre !