Détail de l'éditeur
éditions Divergences |
Documents disponibles chez cet éditeur
Affiner la recherche
Héritage et fermeture / Michel Bonnet
Titre : Héritage et fermeture : Une écologie du démantèlement Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Bonnet, Auteur ; Diego Landivar, Auteur ; Alexandre Monnin, Auteur Editeur : éditions Divergences Année de publication : mai 2021 Importance : 166 p Langues : Français (fre) Catégories : Environnement Tags : Ecologie Anthropocène Décroissance Pollution Technologies Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : Nous dépendons pour notre subsistance d’un «monde organisé», tramé par l’industrie et le management. Ce monde menace aujourd’hui de s’effondrer. Alors que les mouvements progressistes rêvent de monde commun, nous héritons contre notre gré de communs moins bucoliques, «négatifs», à l’image des fleuves et sols contaminés, des industries polluantes, des chaînes logistiques ou encore des technologies numériques. Que faire de ce lourd héritage dont dépendent à court terme des milliards de personnes, alors qu’il les condamne à moyen terme? Nous n’avons pas d’autre choix que d’apprendre, en urgence, à destaurer, fermer et réaffecter ce patrimoine. Et ce, sans liquider les enjeux de justice et de démocratie. Contre le front de modernisation et son anthropologie du projet, de l’ouverture et de l’innovation, il reste à inventer un art de la fermeture et du démantèlement: une (anti)écologie qui met «les mains dans le cambouis». Héritage et fermeture : Une écologie du démantèlement [texte imprimé] / Michel Bonnet, Auteur ; Diego Landivar, Auteur ; Alexandre Monnin, Auteur . - [S.l.] : éditions Divergences, mai 2021 . - 166 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Environnement Tags : Ecologie Anthropocène Décroissance Pollution Technologies Index. décimale : 06.02 Développement durable Résumé : Nous dépendons pour notre subsistance d’un «monde organisé», tramé par l’industrie et le management. Ce monde menace aujourd’hui de s’effondrer. Alors que les mouvements progressistes rêvent de monde commun, nous héritons contre notre gré de communs moins bucoliques, «négatifs», à l’image des fleuves et sols contaminés, des industries polluantes, des chaînes logistiques ou encore des technologies numériques. Que faire de ce lourd héritage dont dépendent à court terme des milliards de personnes, alors qu’il les condamne à moyen terme? Nous n’avons pas d’autre choix que d’apprendre, en urgence, à destaurer, fermer et réaffecter ce patrimoine. Et ce, sans liquider les enjeux de justice et de démocratie. Contre le front de modernisation et son anthropologie du projet, de l’ouverture et de l’innovation, il reste à inventer un art de la fermeture et du démantèlement: une (anti)écologie qui met «les mains dans le cambouis».